Selon les résultats d’une étude danoise présentés mardi lors du congrès annuel de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie (ESHRE), qui se tient à Munich jusqu’à mercredi.
Kathrine Birch Petersen et ses collègues de l’université de Copenhague ont mené ces travaux sur 833 femmes ayant consulté la clinique de l’université pour une évaluation de leur fertilité.
Les volumes moyens des ovaires des femmes sous contraception orale (près de 30 % du groupe) étaient significativement plus réduits que ceux des patientes employant d’autres moyens de contraception : de 29 à 52 % plus petits selon les groupes, avec une réduction plus prononcée chez les femmes de 19 à 30 ans.