La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a censuré, jeudi 18 juin, la loi anti-Soros adoptée en 2017 par la majorité de Viktor Orban, le premier ministre hongrois. Cette loi oblige toutes les ONG hongroises à déclarer les dons venant de l’étranger d’un montant supérieur à 500 000 forints (1 444 euros). Le nom des donateurs est rendu public sur un registre en ligne. Si les dons de l’étranger dépassent la somme de 20 800 euros par an, les ONG concernées doivent en plus se présenter officiellement comme une « organisation recevant de l’aide de l’étranger » sur tous leurs supports de communication.
Cette loi était destinée, selon son préambule, à lutter contre les « groupes d’intérêts étrangers » qui voudraient « promouvoir, par le biais de l’influence sociale de ces ONG, leurs propres intérêts au lieu de l’intérêt général de la Hongrie ».
Amnesty International et Transparency International, qui manque singulièrement de transparence, avaient dénoncé ce texte. La plupart des ONG hongroises de ces domaines sont en effet dépendantes de financements étrangers, notamment de la fondation Open Society du milliardaire américain d’origine hongroise George Soros.
Les juges de Luxembourg estiment notamment que le texte est « de nature à entraver la liberté de circulation des capitaux ».
Viktor Orban a déclaré vendredi 19 juin :
« Il existe une politique internationale visant à affaiblir et liquider les nations avec l’aide des organisations supranationales mondiales et des hommes d’affaires qui les soutiennent. Et les tribunaux internationaux font partie de ce réseau ».
Cro-Magnon
Bravo Viktor, ne te laisse pas faire et tu seras VIKTORIEUX !
F. JACQUEL
Les Hongrois ont été indomptables sous la double couronne de Vienne grâce à celle de Saint Étienne en 1848.
Ils ont tenu tête courageusement au déferlement des chars du Paste de Varsovie en 1956.
Avec la protection de Saint Étienne, invoqué par Viktor Orban dans son dernier discours d’investiture, ils donneront à l’Europe une nouvelle leçon de courage civilisationnel. Ils seront peut-être obligés de quitter la CJUE qui n’aura peut-être plus lieu d’être dans une UE qui va se saborder grâce à un organisme microscopique importé de la RPC.
Isten és Szent István védjék Magyarországot és örökkévaló bátorságát !
F. JACQUEL
@Mouette
Version corrigée :
Bravo pour votre analyse ! Vous êtes un brillant apôtre de JUPITER, adepte du “en même temps”. Pour vous, visiblement, la neige peut être blanche et noire, un État peut doit être attaché à son identité et se soumettre aux diktats européens.
Viktor Orban et la Hongrie ont parfaitement et majoritairement compris le pouvoir satanique et destructeur de Saur-os. Avec celui-ci, la note forcément salée et on est sûr de tomber sur un os si on lui laisse la moindre marge de manœuvre. En France, hélas, grâce à une propagande aussi insidieuse qu’efficace, quiconque ose émettre le moindre doute au sujet de ce criminel contre l’humanité est obligatoirement classé dans la catégorie “complotiste”…
Tant qu’il n’aura pas été expédié en enfer, ce suppôt de Satan continuera à instiller ses poisons mortels.
Quant à la liberté de quitter l’UE, permettez-moi de sourire. Au vu des difficultés de la Grande Bretagne pour se désengluer de ce piège mortel, votre propos me semble, au minimum, celui d’un faux naïf, plus certainement celui d’un propagandiste du sy.
F. JACQUEL
Faute de frappe : …système. Au lieu de …sy.
AFumey
Il est intéressant ici d’introduire le parallèle avec la Doctrine Sociale de l’Eglise. Elle repose sur 4 ‘piliers’: la Vérité, la Justice, la Liberté et la Solidarité. Ces piliers sont indissociables, les lecteurs du SB comprennent aisément pourquoi.
Dans la censure tentée sur la Hongrie, c’est la Vérité qui est attaquée (principale cible de tous les mouvement ‘antiracistes’ ou assimilés).
On peut également rappeler la réglementation qui a interdit toute “statistique ethnique”, dans laquelle se trouve également l’interdiction de garder trace des adhésions aux associations ou organisations diverses: de cette manière les dirigeants élus sont aveugles (parfois volontairement) sur les réseaux occultes qui prennent le pouvoir en sourdine: les lecteurs du SB savent également quel réseau particulier a profondément infiltré la magistrature.