C’est la question à laquelle Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, répond :
Dans un jugement rendu le 19 décembre 2024, “Grande Oriente d’Italia contre Italie” (N°29550/17), la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a considéré que la Commission d’enquête parlementaire sur le phénomène des mafias et autres organisations criminelles avait porté atteinte à la vie privée d’une loge maçonnique en faisant une perquisition en Calabre et en Sicile pour obtenir la liste de ses membres.
La CEDH a considéré qu’il n’y avait pas assez de garde-fous autour de cette Commission d’enquête parlementaire et a donc fait primer la protection de la vie privée des francs-maçons plutôt que la lutte contre les infiltrations mafieuses dans les milieux de pouvoir et d’influence.
Cette appréciation est-elle légitime compte tenu de la gravité de l’influence de la mafia en Italie? Le secret de la simple appartenance à une loge maçonnique est-il légitime? Comment la CEDH a-t-elle jugé les affaires précédentes concernant la Franc-maçonnerie italienne?
Michel
On a bien compris que l’Union Soviétique Européenne était une création maçonnique visant à détruire les nations et les peuples européens au profit d’une organisation totalement dévouée aux frangins et à leurs projets.