Après le dérapage dans les comptes de l’assurance maladie et l’aggravation du déficit de l’assurance vieillesse, c’est au tour de la dette des administrations publiques françaises d’augmenter : 33,7 milliards d’euros au premier trimestre 2007. Fin mars, elle a atteint 1 175,9 milliards d’euros (contre 1 142,2 milliards fin 2006), soit environ 65 % du produit intérieur brut. En progression de 31,1 milliards d’euros, la dette de l’Etat contribue largement à cette hausse et "retrouve un profil comparable à celui de 2005", année qui s’était soldée par un endettement record.
MJ