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Médias : Désinformation

La différence entre une bonne et une mauvaise manif

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15 commentaires

  1. Merci pour ce parallèle en image.
    Il est essentiel de faire admettre aux médias et aux politiques cette différence !

  2. c’est comme la différence entre un bon et un mauvais président (ou gouvernement) !

  3. Image de gauche : “festif et bon enfant”
    Image de droite : “nauséabond autant que rance”. Ainsi s’exprime-t-on en Normalie.

  4. Sous-titre : L’inversion des valeurs.

  5. Valls collabo
    Les racailles ont eu du sursis!!!!!!
    Les juges rouges du syndicat de la magistrature ont préserve leur électorat immigré
    Vite France réveille toi
    Etque tous l es collaborateurs aillent au poteau

  6. Seul le tribunal à Cayenne peut juger les deux manifS,vous avez votre idée…moi aussi.

  7. Effectivement, la Manif Pour Tous est infiniment plus dangereuse pour le système que les émeutes de quelques banlieusards exotiques. C’est pourquoi l’état maçonnique ne les réprime absolument pas de la même manière.

  8. Excellent !

  9. Image tristement parlante et qui vaut tous les discours !
    @JEJ : Il ne s’agit plus, me semble-t-il, aujourd’hui de tenter de “faire admettre” quoi que ce soit au niveau des médias lesquels sont gangrenés jusqu’à la moelle et participent au premier chef à nos malheurs.
    Parce que c’est vraiment de là, et pas d’ailleurs, que découle tout ce que nous subissons. Alors s’accrocher à la seule perspective des échéances électorales comme on le lit à pléthore ici et là à s’en asphyxier depuis 2012… faut arrêter
    Lorsque nous aurons enfin fini par rétablir le sain et juste équilibre médiatique , croyez-moi, le profil des politiques à se proposer pour nous représenter aura considérablement changé.
    C’est vraiment là et pas ailleurs que doit civiquement aujourd’hui se concentrer nos forces et notre combat. Le reste suivra.

  10. @PHilibert: avant même la politique, l’éducation… Dans beaucoup de milieux catholiques, malheureusement, l’apparence compte plus que l’être, l’entre-soi compte plus que de se tourner vers les autres, et l’argent compte plus que tout. Il faut que fiston et fifille fassent une école de commerce ou rien, et surtout, qu’ils gagnent de l’argent. Dans certains milieux on fuit comme la peste les vocations quelles qu’elles soient, bien qu’on se dise chrétien. Or ce sont ces milieux, les plus aisés et les plus influents, d’où pourraient émerger des élites de qualité, des têtes pensant bien, des “gens bien”. Nos milieux catholiques ne sont pas si souvent des terrains fertiles, une bonne terre où la Parole peut germer. Nos établissement catholiques non plus.
    Dans quelles instances d’orientation demande-t-on aux jeunes “que veux-tu faire pour le monde / pour Dieu” (cf parabole des talents), au lieu de lui demander “comment peux-tu t’épanouir” ou “évite de prendre des risques, prends la filière S qui en comporte le moins”??
    Il y en a beaucoup des jeunes catho qui intègrent des écoles de journalisme, de communication ou de sciences politiques! Combien parmi eux ont le feu au cœur, combien vont effectivement brûler d’ardeur missionnaire dans leur métier?
    Transmettre et entretenir cette flamme qui est née lors des manifs devrait être le principal souci des parents et des éducateurs chrétiens. Cela demande d’accepter un peu d’émotionnel dans nos vies, pas simplement le rationnel et le calculé. Difficile!!

  11. @Philibert
    D’accord avec vous sur l’importance du rôle nocif des médias. Si demain il n’y avait d’un seul coup plus aucun de ces médias (Télé, radio, journaux, …), les gens se remettent à discuter, et à réfléchir entre eux sans tabous. En 6 mois “l’opinion publique” s’inverse.
    Le problème c’est que tous ces médias sont aujourd’hui contrôlés et dirigés par des grands groupes financiers, souvent apatrides, qui imposent leur idéologie anti nation, contre la famille, et contre la religion. Ces mêmes groupes contrôlent aussi les politiques …
    Même un journaliste honnête ne peut plus y travailler.
    La question revient donc à comment atteindre ces grands groupes financiers ?

  12. Bon. Mais après ?
    Toute personne sérieuse sait. Un cadre des ex-RG m’avait dit lui-même : “nous savons que vous êtes très-très nombreux : il suffit de voir les chiffres de vos manifs – les vrais !” et un autre : “Vous savez bien que c’est politique et que préfet, police et justice ne vous feront aucun cadeau – et à vous seuls”.
    La “seconde” photo montre en effet la manifestation en théorie la plus dangereuse pour François Hollande et ses complices mais elle était composée de gens qui n’avaient dans leur quasi-totalité aucune envie d’envahir les Champs-Élysées le fameux soir de mars où tout était possible.
    Toutefois, ne croyez pas que ce qui se passe ces jours-ci ne créé pas une certain panique du régime : si cela dure – et tout est réuni pour cela -, tout est possible et les ordres de mansuétude peuvent se lire comme une envie d’étouffer le feu sous un tapis. Tous les CRS et gendarmes mobiles de France ne pourront endiguer un feu qui prendrait dans un pays dépressif où plus personne ne soutient l’apparatchik que l’on a mis à l’Élysée et son parti discrédité. Et… vous avez vu cette vidéo saisissante de deux voitures de police assaillies, criblées de pierres et comme lynchées à Sarcelles, alors que les occupants étaient certainement armés et auraient déjà pu au moins menacer les casseurs ?
    Les policiers eux-même ont peur…

  13. Apparemment nos dirigeants n’ont pas les bonnes lunettes !

  14. D’accord avec Philibert et Ode, l’émancipation du paraître, médiatique ou non est primordiale. Il faut que les catholiques se convertissent tout simplement et arrêtent de vouloir plaire au monde et à tout le monde tout en se regardant le nombril. Le problème quand on fait de la politique et donc que l’on cherche à prendre le pouvoir est dans cette nécessité de convaincre. Les sophistes à ce jeu là sont mieux armés que les philosophes qui cherchent la vérité et le bien. Le combat pour la vérité conduit à boire la cigüe comme Socrate ou sur la Croix comme le Christ.

  15. “Je me souviens soudain que je me trouve en ce bas monde, où faire mal est louable souvent et faire bien quelquefois dangereuse folie”
    (Macbeth, Shakespeare)

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