Les jeunes autorisés à participer à la conférence de l’ONU sur la condition de la femme, qui a eu lieu cette semaine, affirment que la sécurité leur a confisqué leurs sacs à dos, après y avoir découvert de la documentation pro vie. Ils ont confisqué du matériel rassemblant des pétitions intitulées « Stop Sexualizing Children » (Arrêtez de soumettre les enfants à la sexualité), prévue pour un séminaire approuvé par l’ONU et animé par le médecin psychiatre, Mme Miriam Grossman, auteur d’un livre intitulé « Qu’enseignez vous à mes enfants ? Un médecin parle des mensonges de l’éducation sexuelle et de leurs conséquences sur vos enfants » (“You're Teaching My Child What? A Physician Exposes the Lies of Sex Education and How They Harm Your Child.” Non traduit en français).
Une des étudiante affirme que les gardes avaient repéré les sacs à dos verts des étudiantes avant de leur demander de les montrer. « Les gardes avaient un regard confus et mécontent, affirme-t-elle. Ils ont dit à tous les agents de sécurité ‘ne laissez passer aucun de ces papiers jaunes à l’intérieur, saisissez-les et gardez-les ».
C.B.
Dans l’article en lien (en français):
“Un avocat de l’Alliance Defense Fund, Piero Tozzi, a déclaré au Friday Fax : « L’ONU n’a pas le droit de censurer l’expression d’opinions adverses. Le Rapporteur Spécial sur la Liberté d’Expression et le Comité des Droits de l’Homme ont récemment souligné le besoin de protéger cette liberté fondamentale. Pourquoi donc des opinions exprimées par des jeunes respectueux et sans passif, sur un sujet d’une importance vitale regardant la santé des jeunes seraient-elles censurées par l’ONU ? »”