Lu sur Gènéthique :
"Faire une FIV est un parcours difficile : c’est "un choc quand ils découvrent qu’ils ont peu de temps devant eux. En moyenne les couples entrent dans le processus à 34 ans. A partir de 37 ans, la fertilité baisse. C’est une contrainte en terme d’organisation et "les traitements sont douloureux avec un grand risque d’échec (seules 20% environ des tentatives réussissent)". "Certains ont eu le sentiment d’une instrumentalisation de leur corps, les femmes d’être devenues des machines à produire des ovocytes et les hommes d’être réduits à un statut de donneurs de sperme à répétition". Anne Bachelot constate que les couples sont nombreux à "s’élever de plus en plus contre une médecine qu’ils qualifient de "vétérinaire"".
Enfin Annie Bachelot note que "lorsqu’un couple n’est pas arrivé à avoir d’enfant, la décision d’arrêter vient principalement de l’homme (…). Cette démarche de l’homme rassure la femme sur sa féminité quand il lui dit implicitement qu’elle peut être femme sans être mère".
claire
“Qui veut faire l’ange (déchu) fait la bête”
Quand on fait la bête il n’est pas incohérent d’être soigné par une médecine vétérinaire