Racontée par Le Monde, qui consacre ce jour un dossier militant en faveur de la dénaturation du mariage :
"Pierre, 10 ans, a un papa et deux mamans. Il appelle maman " celle qui m'a fait naître ",
et l'autre, maman-Sami, du nom du héros de Scooby-doo, son dessin animé
préféré. Il ne voit que des avantages à cette situation. " J'ai une plus grande famille ", dit-il. Trois parents, cinq grands-parents, ça fait plus de monde pour s'occuper de lui. " Avec une seule maman, j'irais plus souvent à l'étude ", relève le petit garçon. Lyns, lui, a 7 ans. Il a deux papas, " un qui dit plus oui, et un qui dit plus non ". Quand ses copains lui demandent où est sa maman, il répond qu'elle est en Haïti, où il a été adopté."
Le reste de l'article est là pour montrer que ces enfants sont normaux et le quotidien publie un deuxième article sur les études scientifiques qui ont traité de ce sujet :
"Plus de 700 articles scientifiques ont été consacrés, depuis le début
des années 1970, à l'homoparentalité dont 10 % au développement des
enfants. "La tendance générale est qu'il n'y a pas de différences
massives entre les enfants élevés dans des familles homoparentales et
les autres ", commente Olivier Vécho, maître de conférences en
psychologie à Paris-X Nanterre. De petites différences peuvent
apparaître : les enfants de parents homosexuels manifestent une estime
de soi plus faible, mais expriment plus leurs émotions. Dans les
relations avec les amis d'école, certaines études montrent que les
enfants d'homos sont plus à l'aise, d'autres qu'ils le sont moins…
Aucun impact n'est relevé sur l'orientation sexuelle.La fiabilité
de ces travaux est cependant mise en cause par les opposants à
l'homoparentalité. Principales critiques : le faible nombre d'enfants
participant aux études, le fait qu'elles concernent surtout des enfants
élevés par des couples de femmes d'un niveau social élevé, ou encore le
recrutement par le biais d'associations militant pour la cause gay."
Nous avions relayé les nombreuses critiques qui montrent la non-fiabilité des études sur lesquelles se basent les militants de l'adoption par des homosexuels. Les critiques les plus fréquentes que l’on peut adresser à ces études portent sur les points suivants :
- La constitution d’échantillons sur la base du volontariat, en faisant appel à des militants de la cause homosexuelle.
- L’administration de questionnaires aux enfants sur l’éducation qu’ils reçoivent par ceux qui en ont la charge.
- Le fait que la plupart des études portent sur des enfants de couples hétérosexuels séparés dont la mère vit avec une autre femme et non sur les enfants de deux femmes ou de deux hommes.
- Le manque d’études longitudinales mesurant les conséquences d’avoir été élevés par un couple homosexuel chez des sujets parvenus à l’âge adulte.
- Le recours abusif à des calculs statistiques faits
pour l’industrie, aboutissant à l’affirmation mensongère qu’il n’y a pas
de « différences statistiquement significatives » entre les enfants
élevés par des couples homosexuels et les autres, alors que cette
différence est réelle."
Et le Monde ne peut pas passer sous silence l'étude de Mark
Regnerus, que nous avons déjà évoquée.
Enfin, un dernier article donne la parole aux psychiatres. Extraits :
"Premier
argument des opposants : l'enfant a besoin de s'identifier à du masculin
et à du féminin. Il lui faut de la différence sexuelle, de l'"asymétrie", explique Maurice Berger, chef de service en psychiatrie de l'enfant au CHU de Saint-Etienne. "Le désir qui a présidé à sa conception, les échanges qu'il a dès les
premiers jours de sa vie ne sont pas les mêmes dans le cas d'un père et
d'une mère", poursuit-il.Deuxième objection, le besoin de se représenter une origine crédible. "L'enfant se demande d'où il vient et a besoin d'établir un scénario qui colle, explique Christian Flavigny, directeur du département de psychanalyse de l'enfant à la Pitié-Salpêtrière à Paris. Il
sait bien que deux personnes de même sexe ne peuvent pas procréer. Une
loi qui viendrait légaliser une filiation impossible serait une
falsification." "Quand vous ne pouvez pas penser vos origines,
que vous vous dites que vous venez de quelque chose d'impossible, vous
n'avez pas d'identité narcissique cohérente, renchérit Pierre Lévy-Soussan, pédopsychiatre. Cela peut devenir extrêmement problématique."
Pour résoudre cette infamie, les associations de
parents homosexuels demandent le remplacement de la mention "né de", sur le livret de famille, par la mention "fils de". L'argumentaire des pro-adoption se base en effet pas la dissociation entre biologique et social. Il y a des gens qui "font" des enfants, et d'autres qui les élèvent. Une réalité bien présente depuis la légalisation de la fécondation in vitro.
Domremy
VOICI CE QU’ILS NOUS PRÉPARENT : Ils arrachent 2 enfants de 4 et 5 ans à leurs parents pour les confier à des pédérastes
(Dzieci w rękach dewiantów. Dziadkowie mają zakaz kontaktów z wnukami)
LES ENFANTS CONFIÉS A DES DEVIANTS , LES GRANDS PARENTS INTERDITS DE CONTACTS AVEC LEURS PETITS ENFANTS :
Publié le 24 -09 _2012
http://www.pch24.pl/dzieci-w-rekach-dewiantow–dziadkowie-maja-zakaz-kontaktow-z-wnukami,6063,i.html
TRADUCTION :
Les grands parents de deux enfants confiés à « l’adoption » par un couple homosexuel se voient interdire depuis 3 ans le moindre contact avec leurs petits-enfants. Aupaavent on leur a interdit d’etre famille d’accueil . Pour les fonctionnaires écossais ils seraient trop agés pour pouvoir s’occuper de leurs petits-enfants .
Le couple des grands parents a élevé ses sept enfants . Il s’est occupé aussi de ses petits enfants- enfants de leur fille ainée –jusqu’à ce que le petit garçon ait atteint les 5 ans et la petite fille 4 ans. Le service social de la ville d’Edimbourg a décidé d’offrir les enfants à l’adoption .Les bureaucrates décrété que les grands parents sont trop agés pour s’occuper encore de leurs propre petitsenfants . Les enfants se sont retrouvés chez deux pédérastes vivant en couple.
Les grands parents ont protesté et le travailleur social a décrété que s’ils n’acceptaient pas cette décision ils ne reverraient plus les enfants. On a officiellement interdit toute rencontre avec les grands parents pendant 3 ans .
Le porte parole du service de presse invité à commenter cette décision a affirmé : » Les décisions concernanr le contact entre les enfants et sa famille n’a d’autre but que de défendre l’interet des enfants. Dans ce cas il est évident qu’il n’existera plus aucun contact médiatisé . L’affaire est claire depuis que l’on a confié les enfants aux adoptants »
Source : hli.org.pl
ARRETONS CES DOCTEURS FOLAMOUR ET LEURS EXPÉRIENCES QUI TRAITENT LES ENFANTS COMME DES RATS
CV
“l’enfant sait bien que deux parents du même sexe ne peuvent pas procréer.”
Mais alors, à quel moment l’enfant, devenu adulte et homosexuel, a-t-il oublié cette vérité toute simple????