Un bel exemple de l’alliance entre de haut-fonctionnaires français imbus de leur personne et la dictature technocratique de l’Union européenne bruxelloise. Tout ce dont il faudrait que la France se débarrasse :
La source évoque une décision du PDG de l’établissement Marc Schwartz qui, semble-t-il, aurait été porté par la tentation de présenter le nouveau design des pièces au Ministre de l’Économie en visite au sein de l’établissement le 7 décembre dernier. Pour être au rendez-vous, les ouvriers de la Monnaie de Paris ont même été contraints de faire « les « trois-huit », quatre jours d’affilée fin novembre », avant d’avoir « le retour de la DG ECFIN (affaires économiques et financières) de la Commission européenne, qui a la haute main sur la validation des pièces et billets en euros ».
Ce retour, arrivé le 1ᵉʳ décembre 2023, soit à une semaine de la visite de Bruno Le Maire, s’est avéré négatif, puisque le nouveau design français fut refusé par l’Europe pour « des étoiles peu lisibles sur la face représentant le continent européen. Un affront impardonnable s’agissant du symbole de l’Union européenne ! », explique la source. La Monnaie de Paris a dû alors détruire les 27 millions de pièces pour les refrapper à nouveau. Une opération dont le coût est estimé entre 700 000 et 1,2 million d’euros sur le budget de l’établissement public.
Il n’y aura sans doute aucune sanction pour le PDG de la Monnaie de Paris…
Thibaud
Qu’est-ce que la Commission (qui n’est en rien une dictature technocratique, tout le pouvoir au sein de l’UE appartient aux États) est censée avoir fait de mal dans cette histoire, à part respecter le droit et défendre le symbole de Notre-Dame ?
Ydelo
C’est marrant, on vous voit sur tous les sujets ayant un lien avec la commission européenne :)
philippe paternot
liberté! effacer ce mot sur les façades des mairies! quant à la gabegie financière, ils s’en fichent aussi, nos arrières petits enfants devront rembourser la dette