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Homosexualité : revendication du lobby gay / Liberté d'expression

La liberté académique violée par des militants LGBT

La liberté académique violée par des militants LGBT

Le 22 juin, une poignée d’individus a perturbé un colloque de droit consacré à la question trans, à Assas, en jetant de la peinture, des boules puantes et divers objets métalliques sur les organisateurs. L’université Paris-Panthéon-Assas a porté plainte.

L’université a publié ce communiqué :

Jeudi dernier, 22 juin 2023, à l’occasion d’une matinée d’étude organisée par le Centre de droit public comparé de l’Université Paris-Panthéon-Assas sur La République universelle à l’épreuve de la transidentité, plusieurs individus agissant à visage couvert s’en sont pris à trois intervenants présents sur la chaire et au public, en les aspergeant de peinture et en projetant des boules puantes.

Il a été mis fin temporairement aux exposés et aux débats. Ces derniers ont pu reprendre après que les perturbateurs ont pris la fuite.

Une plainte a été déposée le jour même auprès du Parquet de Paris.

Compte tenu de la gravité de cette action, qui a tenté d’empêcher la tenue d’une manifestation scientifique à l’intérieur d’une enceinte universitaire, l’Université Paris-Panthéon-Assas tient à rappeler les éléments suivants :

  • la mise en œuvre d’une démarche scientifique implique nécessairement la prise en compte d’hypothèses parfois antagonistes, analysées sous un prisme qui n’est pas politique mais strictement académique ;
  • l’université ne saurait tolérer que la liberté académique, l’intégrité scientifique et, en définitive, la liberté de penser de ses enseignants-chercheurs soient remises en cause de quelque manière que ce soit ;
  • de même, elle ne saurait se faire dicter par qui que ce soit les thèmes qu’elle aurait, ou non, le droit de traiter dans le cadre des activités scientifiques de ses équipes de recherche.

La liberté académique est essentielle dans une société démocratique respectueuse des droits et libertés. L’Université Paris-Panthéon-Assas tient à rappeler son attachement au strict respect de cette liberté.

Le ministre de l’enseignement supérieur, Sylvie Retailleau, n’a pas eu de réaction, préoccupée le même jour par un sujet de la plus haute importance :

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2 commentaires

  1. Le niveau intellectuel de ces ” militants ” est dramatiquement bas ! ! ! Mais ce ” colloque ” était-il vraiment nécessaire ? Je pensais que l’université d’Assas traitait de sujets plus intéressants !…………

  2. Soutien d’un doctorant de paris VII. La liberté de parole doit prévaloir.

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