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Europe : politique

La nouvelle taxe du jour

La nouvelle taxe du jour
Le 15 juin, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire affirmait :

Je ne suis pas favorable ni à des augmentations d’impôts, ni à des créations de nouveaux impôts, ni à des créations de nouvelles taxes. Tout simplement parce que nous avons déjà une pression fiscale qui est une des plus fortes des pays développés.

Ce mensonge aura duré 1 mois, selon Les Echos : “Plastique : la nouvelle taxe européenne va coûter cher à la France

Pour financer son plan de relance, l’Union européenne va notamment taxer les déchets d’emballage en plastique non recyclé à compter du 1 er janvier prochain, via des « contributions nationales ». Pour la France, la facture devrait dépasser le milliard d’euros.

Qui a cru que ce plan de relance serait gratuit ?

Et Emmanuel Macron qui a assuré mardi soir, sur TF1, que « ce n’est pas le contribuable qui paiera » pour le plan de relance…

Cette nouvelle taxe sur les déchets plastiques comme les blisters, les pots de yaourt ou les sachets de café ne sera pas négligeable pour le budget français.

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5 commentaires

  1. menteur un jour, menteur toujours c’est ainsi que la bête prospère

  2. Objection, votre Honneur !
    Il ne s’agit pas d’un impôt, mais d’une simple taxe (comme la taxe d’habitation qui, quand elle est supprimée, est classée “baisse d’impôt)…
    😇😇😇

  3. Comme le taux d’imposition et la richesse de l’État suivent une courbe de Gauss (comme pour le coronavirus d’ailleurs…) et que nous avons depuis longtemps dépassé le sommet, il s’agit bien, une fois de plus, d’une volonté délibérée de ruiner le pays.

  4. lever des taxes, ça ils savent faire!
    distribuer des milliards aussi, comme s’il s’agissait de billets de monopoly, on croit rêver

  5. “Et Emmanuel Macron qui a assuré mardi soir, sur TF1, que « ce n’est pas le contribuable qui paiera » pour le plan de relance…”

    Comment une dépense ou une charge de l’Etat pourraient ne pas être in fine financée par le contribuable ?

    Que ce soit directement ou indirectement, car si un producteur paye une taxe, ce sera à la fin le consommateur final qui la paiera dans le prix augmenté de son achat. Le seul impôt qui pourrait ne pas être totalement financé par le consommateur serait un impôts sur les transactions financières internationales, mais voilà, il n’existe pas.

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