Le Père Matthieu Rougé, ancien aumônier des parlementaires à Paris, est interrogé par Les Echos :
"C'est
un signe de la paradoxale modernité de ce Pape. C'est un homme d'une
grande liberté intellectuelle. Il a senti que ses forces déclinaient et
il a eu cette démarche originale par rapport à l'histoire de l'Eglise.
C'est la preuve d'une très grande liberté. Il a respecté la fin du
pontificat de Jean-Paul II, mais pour lui-même, il ne s'est pas senti
contraint par l'institution. Et cela est très important pour la
modernité de l'Eglise."