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Homosexualité : revendication du lobby gay / Médias : Désinformation

La police est-elle complice des Femen ?

C'est la question que l'on se pose en voyant les photos dénichées par l'Observatoire de la christianophobie.

L'idée d'un coup monté avait déjà été évoquée sur Nouvelles de France.

4 manifestants ont été interpellés par les forces de l’ordre.

Une autre enquête révèle que certaines des Femen sont des prostituées.

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7 commentaires

  1. Les femmes seins à l’air ont été arrêtées par les courageux policiers?
    Article 222-27
    Les agressions sexuelles autres que le viol sont punies de cinq ans d’emprisonnement et de 75000 euros d’amende.
    Article 222-32
    L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende.

  2. La police qui sert l’Etat, est majoritairement formatée à son image.

  3. L’excité cagoulé semble porter un brassard de police à l’envers (côté sans inscription) qu’il peut ainsi retourner ou montrer en cas de besoin.C’est en tout cas un signe de reconnaissance qu’il porte et met en poche l’action terminée.
    Les articles du Code Pénal cités ici ne s’appliquent pas précisemment car l'”exhibition sexuelle” n’est pas établie, selon l'”évolution des moeurs” par le seul dénudage des seins, le sexe en lui même n’étant pas visible (culotte) et ne s’agissant point d’exhibition à “caractère sexuel” (comme lorsqu’un homme montre son sexe en érection en public, à un enfant ou à une femme adulte, le pantalon baissé ou le manteau écarté ou lorsqu’un couple “copule” dans sa voiture ou dans un parc).On fera valoir qu’à notre époque, exhiber son buste est banal, qu’on le voit sur bien des affiches ou des couvertures dans les kiosques et lorsque défilent les “gay pride” qui donnent lieu en public à des exhibitions qui sont plus un spectacle qu’un acte sexuel suggéré ou accompli.
    Seuls peuvent donc tenir (pour Civitas) les agressions physiques (gaz ou fumigènes) et la participation à une contremanifestation non autorisée (mais SOS TOUT PETITS en subit continuellement sans que les agresseurs soient inquiétés).Toutefois, s’il-y-a ou pas “coup monté” avec complicité policière (en plus de journalistique), seul Civitas sera condamné indirectement à cause des manifestants violents et injurieux dont gestes et paroles ont été enregistrés, à l’égard du sexe “dit faible” qui voulait seulement s’amuser !

  4. En tout cas si c’est vrai, l’homme au brassard orange était un bleu car il aurait du s’y prendre différemment pour ne pas se faire remarqué.
    Peut -être aussi un “provocateur” travaillant pour femen et camouflé en policier à brassard pour pouvoir se rapprocher des contre-manifestantes…????
    Et si l’homme au brassard l’avait mis exprès pour que la police soit impliquée etc.????
    Tout est possible dans ce monde du mensonge y compris d’état dans les discours de tous les jours …alors pourquoi pas dans cette affaire…

  5. Un excellent travail est effectué en périphérie de la manifestation Civitas.
    Ces photos sont un excellent outil, tout le monde semble très mobilisé, et réagit très opportunément. Il y a beaucoup de clarté et d’intégrité dans les prises de position de Civitas.
    Je le dis en pensant à ses détracteurs, j’ai beaucoup d’estime pour Monsieur Escada. Je n’ai pas l’honneur de le connaître, mais je voudrais qu’il sache que nous avons plaisir à prier pour lui.
    Voilà un communiqué qui me paraît très sincère, et assez poignant tant il révèle le degré de corruption qui est celui de la France d’aujourd’hui.
    Mais les Français nous réservent bien des surprises.

    Désinformation institutionnelle sur la manifestation de CIVITAS et poursuites engagées contre les FEMEN
    Depuis dimanche soir, les dépêches tombent les unes après les autres se recopiant les unes les autres : « dérapages » en marge de la manifestation de CIVITAS alors que près de 20.000 personnes de tous horizons ont manifesté dans le calme, la sérénité et la bonne humeur.
    « Dérapages verbaux », au motif que les arguments ou les slogans entendus ne conviendraient pas à certains journalistes et politiques, sourcilleux gardiens de la liberté d’expression à sens unique. Cette première désinformation est inquiétante pour les vrais défenseurs de la liberté : il s’agit en réalité d’une tentative d’intimidation visant à accepter la liberté d’expression que lorsqu’elle est conforme aux diktats des faiseurs d’opinion et du gouvernement socialiste. A cet égard, il est inquiétant que, dans une démocratie digne de ce nom, un ministre en exercice, en l’espèce Madame Najat VALLAUD-BELKACEM, distribue par voie de communiqués successifs, les brevets de conformité à ce qui doit être dit par les opposants à son projet funeste, que ce soient ceux des manifestations de samedi ou de dimanche.
    De nombreux politiciens osent même réclamer une dissolution de CIVITAS pour on ne sait quels motifs : il est certain qu’il est plus simple d’empêcher un opposant de parler, ce qui en dit long sur l’état d’esprit de ceux qui n’admettent la liberté d’expression que définie par eux. Il s’agit de pures agitations politiciennes.
    « Dérapages physiques » : la quasi-unanimité journalistique, à de rares exceptions, a titré sur les dérapages physiques et la violence dont auraient fait preuve des « intégristes » « en marge de la manifestation de CIVITAS ». Les médias ont également repris sans discernement les propos de la militante homosexuelle Caroline FOUREST qui tweetait depuis le fourgon dans lequel elle semble avoir été interpellée. A l’entendre, les jeunes filles victimes de la « violence intégriste » étaient juste venues contremanifester gentiment déguisées en nonnes.
    La réalité est radicalement différente :
    – Les jeunes filles en questions appartiennent au groupe les FEMEN d’origine ukrainienne, groupe interdit en Ukraine, financé par un milliardaire allemand ; elles sont venues contre-manifester illégalement puisque sans déclaration préalable, avec virulence, en portant un voile de religieuse sur la tête, les seins nus, certaines en porte-jarretelles, avec des expressions injurieuses écrites sur la poitrine (« fuck God », « fuck church », « Saint-esprit étroit », « Marie marions-nous », « occupe-toi de ton cul »), pour attaquer les manifestants de CIVITAS -dont des enfants qui ont été extrêmement choqués- en les aspergeant de gazs fumigènes contenus dans des aérosols mentionnant en Anglais « Saint sperme » et « sperme de Jésus » ! Une photo en témoigne : un enfant dans sa poussette a été directement visé par un jet de gaz de l’une des FEMEN !
    – Contrairement à ce que prétendent certains médias et politiques, aucun membre de l’organisation de CIVITAS ne s’est rendu coupable de la moindre violence envers ces FEMEN. Les policiers ont informé les responsables de CIVITAS que seuls avaient été interpellés quatre individus sans rapport avec CIVITAS et que rien ne pouvait être reproché à CIVITAS. A l’inverse, le service d’ordre de CIVITAS a été exemplaire puisqu’il a pu bloquer les FEMEN sans user de violence pour les empêcher d’avancer plus avant dans la manifestation et continuer à agresser les participants et à s’exhiber notamment devant des enfants. Les FEMEN font malheureusement peu de cas de l’innocence des nombreux enfants qui ont été violentés et qui ont été très choqués par leur attaque, leurs tenues et leurs slogans.
    Aucune violence ni provocation n’est acceptable et c’est pourquoi CIVITAS annonce que son avocat, Maître Jérôme Triomphe, est en train de porter plainte auprès du procureur de la république contre les membres parfaitement identifiables des FEMEN, qui se sont rendus coupables d’exhibitions sexuelles notamment à la vue d’enfants (article 222-32 du code pénal), diffusion de message à caractère violent ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine et susceptibles d’être vus par des mineurs (article 227-24 du code pénal), violences en réunion et avec armes (article 222-13 du code pénal) y compris contre des enfants, entrave concertée à la liberté de manifestation par menaces, violences et voies de fait (article 431-1 du code pénal) ainsi que pour injures envers CIVITAS et les manifestants en raison de leur appartenance à la religion catholique ainsi que les messages écrits sur leur poitrine et les aérosols utilisés le démontrent aisément (article 33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881).
    Que les positions de CIVITAS soient discutées, c’est la liberté d’expression qui le veut. Mais que pour éluder le débat de fond sur un sujet aussi grave que le mariage et l’adoption homosexuels et que pour éclipser la formidable mobilisation des Français de samedi et dimanche, il soit procédé aux habituels procédés dialectiques de désinformation, de diabolisation et d’amalgame, cela n’est pas acceptable. CIVITAS indique donc qu’elle entendra poursuivre devant les tribunaux tout propos diffamatoire, injurieux ou provocant à la discrimination, à la haine ou à la violence à son endroit ou à l’encontre de ses membres.
    Alain Escada, Président de CIVITAS (1)

    http://www.civitas-institut.com/

  6. Je faisais parti de la sécurité à la manifestation du 17 novembre, des k-way oranges et des brassards oranges sur lesquels étaient marqués “Sécurité” ont été distribué aux volontaires chargés de la sécurité. Cela se fait souvent dans les manifestations (cf marche pour la vie). De plus les agents de sécurité privée portent également ce type de brassard.
    Cela ne prouve rien, ne tombons pas dans un délire paranoïaque. L’action des Femen est condamnable, car particulièrement violente. La réaction n’est peut être pas la meilleure, mais largement compréhensible.

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