Lu dans Minute à paraître demain :
"Dans la nuit de dimanche à lundi, un Collectif des Lampédusiens à Paris (comme on vous le dit!) a investi une annexe technique d’un service d’architecture de la mairie de Paris. Objectif: obtenir des papiers «pour être libres» (travailler). Ils ignorent manifestement que le salariat est un esclavage. L’occupation faisait suite au placement en centre de rétention de plusieurs centaines de Tunisiens qui s’étaient installés square de Pantin la semaine dernière. Sur place lundi matin, un représentant de la mairie informait les curieux qu’il y avait 114 hommes à l’intérieur du bâtiment «alors que nous en attendions 140». Quasiment une bonne nouvelle! «Nous en attendions 140?» Il semble que le maire de Paris ait été informé de cette opération menée dans ses locaux malgré la compassion sonnante et trébuchante qu’il leur a manifestée… ou à cause d’elle.
Dans un bouleversant communiqué publié le 26 avril, Delanoë avait annoncé que le contribuable parisien allait verser 100000 euros pour des « mesures d’urgence » en faveur de ces pauvres hères et que la Ville de Paris avait «missionné» France Terre d’asile «pour mettre en place des dispositifs de soutien et d’accompagnement, social et sanitaire, mais aussi d’accès à des hébergements hôteliers». Tant d’égard a manifestement blessé l’amour-propre des réfugiés, puisque la grande banderole déployée lundi matin sur la façade de l’immeuble parisien clamait: «Ni police ni charité!» Et ils réclamaient «un lieu pour s’organiser». […]
Dans le bâtiment, 114 personnes donc, sans compter les militants «anarchistes et associatifs» qui dictent aux malheureux – dont beaucoup ne parlent pas français – leurs slogans et leurs revendications. Une vraie manipulation du malheur avec comme mot d’ordre de s’en prendre particulièrement à la police à coups d’insultes claires et répétées. Entre deux chants, les slogans fusent des fenêtres, type « La police digage! » [dégage]. A l’extérieur, une poignée de quinquagénaires-sympas-et-engagés est fin prête à dégainer caméras et appareils photo s’il venait à la police l’idée suspecte de faire respecter la loi. Cette occupation dans Paris en dit long sur la schizophrénie actuelle: celle d’un pouvoir politique qui tergiverse en fonction des médias, celle des élus qui prennent le parti des hors-la-loi et celle des médias qui livrent des infos tronquées allant jusqu’à parler de rafle, alors que les «raflés» plastronnent au coeur de la capitale. Et pendant ce temps, la police ne sait plus à quel clandestin se vouer. Jusqu’à quand?"
jejomau
Que les forces de l’Ordre cessent de travailler : le pouvoir politique se mettra à avoir peur et réagira enfin …
Après tout, les français n’ont pas à être des guignols.
aml
Comment faire pour que nos impôts ne servent pas à “cela” ?
VD
S’ils ne veulent “ni police, ni charité”, ils n’ont qu’à voyager légalement et assumer financièrement leur déplacement. Comme le font tous les gens ordinaires, même ceux qui envisagent de s’expatrier à l’étranger !
lève-toi
Tout ce bordel n’est que le commencement et la préparation de la guerre civile, il serait donc urgent de mettre le paquet avant d’être submergé, nous pouvons répertorier les traitres pour les neutraliser , par la violence si nécessaire ( il semble que ce le soit). Ils nous font violence, alors renvoyons le boomerang, formons des groupes pour les terroriser , eux et les envahisseurs, soyons leur très hostiles.
On ne gagne pas la guerre par la charité (St Pie X)