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Culture : cinéma / Immigration

Le film Une saison en France financé avec nos impôts

Minute dénonce la propagande cinématographique du film Une saison en France, sorti le 31 janvier, qui a reçu la caution morale des associations France Terre d’Asile et Médecins du Monde. Abbas a fui la guerre en Centrafrique pour se réfugier en France, en banlieue parisienne, avec ses deux enfants. Il trouve un travail sur les marchés forains, ses gosses vont à l’école et il s’est même dégotté une petite copine, une marchande de fruits et légumes. Mais Abbas est persécuté par les méchantes autorités françaises.

Capture d’écran 2018-02-08 à 21.07.43
 

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7 commentaires

  1. Oh la la mais elle est bien la pecresse en plus elle va a la LMPT, la messe et elle est de droite …toujours à chercher des poux …..

  2. Ils auraient tout de même pu demander à George Soros ! On retrouve là, notre Pécresse, celle qui a permis de marchandiser les profs d’universités. Dorénavant, les multinationales peuvent exercer des chantages auprès d’elles : on vous accorde une subvention si vous acceptez d’embaucher tel prof défendant nos idées. Du coup, ces universités n’ont plus rien de scientifique mais elles sont des hauts lieux de propagande. Merci Pécresse ! Chose curieuse, elle est devenue Présidente du conseil régional d’Île-de-France. Comme quoi les Français sont bien coresponsables de leur malheur.

  3. et c’est nous qui “PAYONS ” svp !

  4. Donc en fait ce sont les gens qui ont le pouvoir en France, ceux qui tiennent les manettes, qui font un film dénonçant l’iniquité de l’administration française…
    Le Suicide Français, titrait Zemmour : je crois qu’il y a de quoi mourir de rire… si on n’est pas français. (ah ben oui, faut un minimum !)

  5. Quid de la femme du-dit Abbas, ou de la mère de ses enfants? Il l’a larguée parce qu’elle le gênait?
    Le scénario du film est à mettre en regard des “balance ton porc” et autres mouvements d’opinion actuel.

  6. Désolée, “sandra78 | 9 fév 2018 10:22:13”, mais “Minute” a raison (ainsi que le rédacteur de ce billet du S.B.).
    Comme indiqué dans le cours du billet, il s’agit d’une citation du “regretté Coluche”.
    Tout au plus peut-on regretter que le titre ne comporte pas la guillemets qui ont été correctement utilisés dans le corps du billet.

  7. Oh! C’est NOUS qui payONS!
    Quand on défend la France on parle sa langue!

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