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Culture de mort : Euthanasie

La position du parti Renaissance sur l’euthanasie

La position du parti Renaissance sur l’euthanasie

Samedi, le parti présidentiel réunissait pour la première fois une sorte de parlement interne, soit 300 personnes, dont une bonne partie du gouvernement. L’objectif de la journée était d’exposer la démocratie interne au sein du mouvement et ses efforts pour s’enraciner dans les territoires.

L’éphémère ministre de la Santé Brigitte Bourguignon, nommée à l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) depuis sa défaite aux législatives et donc fonctionnaire soumise à l’obligation de réserve (!), a présenté la position du parti sur la fin de vie, à savoir deux nouveaux “droits distincts” :

  • celui du patient en fin de vie ou atteint d’une maladie incurable de “demander une aide active à mourir”.
  • celui du médecin “d’accepter la demande du patient ou de s’y soustraire, par une clause de conscience”.

Il serait temps d’euthanasier ce gouvernement.

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2 commentaires

  1. Parti de la “Renaissance” : un drôle de nom pour un parti qui prône le droit de tuer (avortement, euthanasie)…

  2. Comme pour la “pandémie”, le serment d’hypocrite remplace peu à peu le Serment d’Hippocrate :
    “Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
    Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
    Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
    J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
    Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
    Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
    Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
    Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
    Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
    J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
    Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.”

    Ce texte a été adapté au politiquement correct en 2012 : l’engagement à ne pas donner le poison, ni la drogue provoquant l’avortement et à ne pas aider à mourir a été soigneusement modifié pour réduire l’hypocrisie du corps médical, surtout celui qui fréquente les plateaux de TV et les studios des radios.

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