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Culture de mort : Euthanasie

La sédation palliative, cette euthanasie lente

La sédation palliative consiste en l’administration de quantités croissantes de morphine associées à du Dormicum qui endort profondément le patient, en principe elle s’accompagne du retrait de la nourriture et de l’hydratation. C'est une méthode d'euthanasie qui ne dit pas son nom mais qui est en forte augmentation.

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26 commentaires

  1. On ouvre enfin les yeux …
    Encore un petit effort : que veut dire “palliative” ? Palliavite à quoi ?
    Vous remarquerez que c’est le même mot que dans “soins palliatifs” … Et c’est à juste titre, car cette sédation palliative est utilisée dans les unités de soins palliatifs !
    Voilà qui devrait faire réfléchir les naïfs qui à l’euthanasie opposent les soins palliatifs ! Les deux atteignent le même but : pour pallier à la douleur, on supprime la conscience et on abrège la vie. Chose moralement inacceptable.

  2. Oui, c’est de plus en plus pratiqué.Pas pour des raisons idéologiques,mais par suite de l’encombrement et du manque de personnel.Il faut du chiffre.Un lit doit être rentable.Un mourant occupe un lit et demande qu’on s’occupe de lui….Cela deviendra un luxe de prendre le temps de mourir. Attention aux créations de services de pseudo soins palliatifs sans moyens qui redeviendraient les mouroirs de jadis…

  3. Est-il moral de laisser souffrir les gens lorsqu’on peut apaiser la souffrance ?
    Le scandale, dans le cas rapporté, c’est de faire mourir de faim et de soif sous morphine.
    A supposer que la victime n’en souffre pas (ce qui reste à démontrer), nous tous devrions en souffrir le jour où, hospitalisés, nous nous demanderons si nous sommes entre les mains d’un médecin qui soigne ou entre celles d’un tueur.

  4. Le problème, c’est ce connaître ce truc. Il y a 7 ans, on a eu le cas dans ma famille, et personne n’a compris ce que le médecin proposait, car il n’a pas expliqué ce que c’était réellement. Et quand on a compris, c’était trop tard, mais le médecin doit se souvenir de la fureur de mon père…

  5. @Kral
    Vous avez raison, il vaut bien mieux laisser les gens agoniser pendant des jours dans des souffrances atroces, comme au bon vieux temps…
    Je suppose qu’en cas de chirurgie, vous refusez également l’anesthésie.
    Libre à à vous de faire ce choix pour vous-même. Quant à moi, je n’aurais pas ce courage, ni pour moi ni pour les miens.

  6. Citation de Pascal: “Jésus sera en agonie jusqu’à la fin des temps”. Quels que soient les soins physiques apportés aux mourants pour soulager leur douleur sans abréger leur vie, le plus important est de leur apporter les soins spirituels dont ils ont le plus grand besoin à ce moment crucial de leur vie.

  7. Dans le très proche débat sur l’euthanasie légale qui nous attend, il faudra quand même veiller à ne pas tomber dans des caricatures de pensée. Les soins palliatifs impliquent de combler les besoins physiques (alimentation & hydratation) & de proposer un traitement antalgique (= anti-douleur) adapté sans but de guérir.
    Dans certains cas, le traitement antalgique peut aller jusqu’à l’anesthésie (= sédation) qui, selon le Magistère, doit être prévenue pour que la personne se prépare (testament, sacrement…). Cette anesthésie est d’ailleurs une étape naturelle d’un corps sain qui meurt en produisant de la morphine & en stoppant l’adrénaline, d’où une mise en sommeil du corps. Dans le cas de la maladie la morphine produite est insuffisante pour atténuer la douleur, la médecine tente de compenser médicamenteusement ce manque.
    En aucun cas cette anesthésie n’est une euthanasie : elle est réversible, & n’est pas donnée dans l’intention de tuer. La mort est l’une des conséquences possibles des traitements antalgiques, comme dans toute anesthésie. C’est exactement la même configuration que les traitement lourds de l’épilepsie par exemple : on préfère l’effet droguant du traitement aux alea de la maladie, même au prix de la conscience du malade & même de sa santé à long terme, sauf que dans les soins palliatifs, il n’y a pas de long terme…
    Tout est calcul de risque proportionné, avec une part qui restera toujours mystérieuse. Vouloir à tout prix maintenir en vie est aussi pervers que pousser dans l’au-delà! Les médecins sont formés à délivrer des traitements proportionnés, ne l’oublions pas trop vite, & ils ont les capacités d’évaluer le bien-fondé d’un traitement (signes cliniques, physiques…). Aucune loi voulant cadrer les traitements peri-mortem ne ferait mieux qu’une équipe médicale bien formée.

  8. Et ceci passe alertement par la porte si habilement entr’ouverte par Monsieur Léonetti dans sa loi léonine de 2005 qui assimile si malicieusement l’hydratation , l’alimentation et la respiration à des “traitements”.
    C’est ce que je n’ai eu de cesse de rappeler pendant la campagne présidentielle et qui m’a valu d’être insulté et démenti ici même par un médecin qui avait pourtant dénoncé pour les mêmes raisons, sur le même Salon Beige, en Janvier 2011, ladite loi.
    Il est vrai que ce docteur était manifestement sous l’influence étrange de l’Alliance Vita qui se garde avec une singulière constance de dénoncer la loi Léonetti.
    Après une loyale explication entre nous, le médecin en question s’est excusé auprès de votre humble serviteur.
    Pour conclure, on peut dire incidemment, Dieu merci, que cette loi, jugée “équilibrée” , dans sa réponse à “Catholiques en campagne” par le candidat perdant aux présidentiels ne lui aura pas porté chance , en dépit du ralliement sans condition de quelques bradeurs des PNN.

  9. @ Laetitia de M :
    Très juste et très bien exprimé !

  10. Sédater le patient n’est pas un problème.
    En revanche, j’ai un peu plus de mal avec ça: “[la sédation] s’accompagne du retrait de la nourriture et de l’hydratation”.

  11. C’est en cela que la loi Léonetti n’a pas que des aspects satisfaisants : elle a empêché les dérives vers le pire, mais elle laisse libre cours à beaucoup de pratiques contestables.
    En faire un acquis définitif et un point positif pour certains candidats sortants est plus que discutable.

  12. à Jacques -Henry ,
    Il semble qu’il y ait quelque chose qui vous ait échappé: le “pire” que vous évoquez n’est-il pas ce prolongement malicieux et cynique de la loi Léonetti déjà bien établi dans les faits, comme le rappelle justement Senex ?
    Comment voulez-vous que cette loi trompeuse, commise par un radical se revendiquant du pire esprit sans-culotte, ait “empêché” quoique ce soit?
    C’est en quoi cette loi plus “qu’inutile” aurait du être appréciée et dénoncée en temps utile comme intrinsèquement perverse.
    Elle a ,au contraire à l’instar de la loi Veil dans le prolongement de laquelle elle s’inscrit (cf les débats sur le sujet à l’Assemblée nationale) trompé tant de monde qui, hélas , ne demandait pas mieux manifestement.

  13. @ Sancenay : dire que la loi Leonetti a ouvert une brèche dans la pratique des euthanasies est infondé, celles-ci étant largement répandues (& quoiqu’on pense beaucoup plus dans les services d’urgence & de réanimation que chez les personnes âgées).
    Ensuite la sémantique que vous contestez de l’appellation “traitement” pour les soins de base (hydratation, etc…) a sa source dans le fait que ces soins sont l’objet d’une ordonnance médicale (par exemple une perfusion), donc légalement ce sont des traitements. Les traitements médicaux ne recouvrent pas que les traitements médicamenteux!
    Enfin l’euthanasie est communément la suite de l’acharnement thérapeutique, deux perversités orgueilleuses dénoncées d’un même élan par l’Eglise. En cela une loi limitant l’acharnement au profit des soins de base est un premier pas dans le bon sens.

  14. Bonjour à tous,
    ce sujet est hautement sensible.
    Sur ce blog catholique, j’apprécierais d’avoir un éclairage VRAIMENT catholique. D’un prêtre, et/ou d’un théologien fidèle au Magistère.
    Dans les milieux cathos, les soins palliatifs sont présentés comme le nec plus ultra de ce qu’il faut faire en fin de vie…et là, je découvre avec effroi que des services de soins palliatifs se fixent pour objectif de donner la mort.
    Donc, SOS, si un religieux et/ou un prêtre pouvaient clarifier cela, ce serait bien.

  15. Je ne comprends pas tous ces commentaires sauf ceux de Laetitia de M.

  16. Laetitia de @ “Mort douce ou mort en douce” Excellent résumé, de la situation, qui est loin d’être confortable pour le personnel de santé chrétien ou non. En conclusion :formation des équipes,mais par qui ? Soutien à ceux qui veulent prendre les risques de résister.Se pose la question de l’objection de conscience contre “la mort en douce”comme pour L’ivg.Mais le mur administratif est bétonné…UDP merci

  17. Je comprends parfaitement le souci de ne pas laisser un proche souffrir comme une bête… mais où fixer la limite ? C’est impossible et donc dangereux. Je pense que c’est au malade de le préciser en fonction de tout ce qui constitue sa personne.
    Je note l’absence de réflexions purement spirituelles… La Charité aurait-elle commandé de morphiniser le Christ en Croix, quitte à empêcher ses sept dernière Paroles ? !
    La valeur salvatrice de la souffrance ultime – pour celui qui l’accepte dans la Foi – est aussi oubliée. Le Curé d’Ars disait “A l’heure du Jugement, seules nos croix nous rassureront”
    je sais, il y a aussi la Miséricorde… En fait la question à la complexité du rapport à la transcendance. La souffrance n’est pas qu’une somme de sensations douloureuses.

  18. @ Senex : la formation des personnels de santé est une urgence en effet, à commencer par les catholiques; mais l’Eglise a produit des textes à cet effet, y compris pour la part de l’objection de conscience, via la Congrégation (tous en vente chez Téqui…).
    Même si certains semblent découvrir le sujet, il n’y a pas à chercher aujourd’hui l’avis de théologien ou je ne sais quoi, tout est déjà écrit, il n’y a plus qu’à obéir. Mais c’est peut-être le plus dur, vous avez raison…

  19. @ L de M.
    Sans doute me prenez-vous pour la dernière des ahuries : c’est votre droit.
    Mais sachez que j’ai lu les textes dont vous parlez. Il n’y est nullement indiqué que les soins palliatifs aient pour but l’élimination volontaire du malade.
    Je regrette, mais je voudrais un éclairage CLAIR, PRECIS, FIABLE et très PRAGMATIQUE sur ces questions.
    Je ne suis pas médecin ni professionnel de santé, mais juriste : j’ai donc besoin de textes clairs et argumentés. Il n’est pas très chrétien d’envoyer paître ainsi ceux et celles qui demandent à comprendre le fond des choses.

  20. @ Sixtine : où je vous envoie paître??? Le sujet est sensible, mais ne justifie pas autant de crispation, ni de critique contre les blogueurs (pas assez fiables ou VRAIMENT catholique, d’après vous??).
    La problématique de fond est simple : on n’appelle pas soins palliatifs une mise à mort médicamenteuse volontaire, qui est distincte du risque de provoquer la mort par un traitement médical (anesthésie) dans le cadre de soins… C’est l’un ou l’autre.
    Donc votre affirmation que “les soins palliatifs aient pour but l’élimination volontaire du malade.” est caduque en soi & à mon humble avis, vous ne trouverez aucun éclairage théologique pour vous conforter ou pas sur ce point.

  21. Ma mère a été en revalidation en 2005.
    Bien que souffrant de 2 cancers et Alzheimer, elle ne souffrait que de la fracture du col du fémur et avait été opérée….
    Elle refusait la nourriture, nous lui apportions autre chose car elle était maigre….
    Sans cesse ” dérangée” des intestins, je me suis toujours demandé pourquoi puisqu’ elle buvait à peine et qu’ elle n’avait pas de perfusion.
    Le personnel n’ insustait pas ( revalidation) et ma mère a dû vite ” débarrasser le plancher” hospitalier alors qu’ elle était si faible…..choquant 6 jours après une opération….clinique catholiue dont on n’a jamais eu à se plaindre……
    La veille de sa mort, elle était devenue d’ une rare beauté qui nous a surpris….ne se plaignant pas…..assise en fauteuil……
    Elle est morte en pleine nuit.Le coeur a-t-il lâché?
    Prenait- on sa tension?A cette époque, je ne me suis pas posé la question….ma soeur non plus.Ce centre de revalidation est grand et les portes resraient ouvertes de sorte que tout le monde puisse communiquer sans doute.
    Je ne comprendrai jamais ce qui s’ est passé.
    Ou ma mère est morte de faim, ou le coeur a lâché……
    Ou………j’ai posé la question à celui qui l’ avait opérée du fémur….tout ce qu’ il m’ a dit c’ est qu’ après une opération de ce type, on survivait UN AN!Or, c’ est faux: j’ ai une tante de 89 ans, qui vit toujours….
    Et cette question me hante…..

  22. J’habite en Belgique……j’ ignorais la sédation mortelle…..ma mère avait 84 ans.
    Comme elle ne souffrait pas physiquement, elle n’ a JAMAIS reçu de morphine en revalidation!
    Mais moralement, elle en avait peut être assez?Elle ne parlait que peu….s’ est elle confiée?Ce n’ était pas son genre MAIS elle voulait rentrer chez elle et nous étions obligés de lui dire que ce n’ était pas possible….et nous pensions pouvoir soit la prendre chez nous, soit la remettre chez elle mais l’ escalier vers le salon….difficile….Jamais JE N’ AURAIS PENSÉ qu’ elle partirait si vite.Nous n’ avons jamais pensé la placer…..les homes, non merci……

  23. à L de M
    à vouloir voler au secours du radical Léonetti,de l’UMP en déroute ou je ne sais quelle officine “humaniste” qui délabre notre société , vous me prêtez des propos qui ne sont pas les miens.
    En effet, je n’ai jamais dit ou écrit que “la Loi Léonetti a ouvert une brèche dans la pratiques des euthanasies”, c’est vous qui le dites et je vous en laisse volontiers la maternité.
    Ce que je partage volontiers avec vous, c’est ce que vous écrivez plus haut:” aucune loi voulant cadrer les traitements peri-mortem ne ferait mieux qu’une équipe médicale bien formée”.
    Un député de l’UMP , donc collègue et co-partisan de Monsieur Léonetti me didait lui-même , avec une extrême prudence, que cette loi était “inutile”.
    Pour ma part je lui exposais volontiers également que cette loi était même dangereuse parce qu’elle avait été conçue pour légitimer l’inacceptable: le fait de donner la mort.
    L’avènement aujourd’hui de la rhétorique de “sédation palliative” en est le parfait prolongement révolutionnaire, revendiqué comme tel.
    Votre raisonnement présenté comme “juridique” ne tient nullement en droit naturel.
    Car si l’on se hasarde à respecter cette funeste logique, la “fumeuse sédation palliative devient un “traitement” au même titre que l’IVG (il faut aussi une ordonnance pour l’IVG, n’est-ce pas ?!) , remboursable comme telle par la “pauvre sécu”, dont la vocation revient à financer la mort d’une patrie, et par extension d’une civilisation, puisque, cette France “humaniste” de Monsieur Léonetti et consorts prétend éclairer l’Europe , et même le monde de ses obscures “lumières”.
    Vous êtes libre de faire vôtres éventuellement ces conceptions , voire de défendre ses redoutables thuriféraires
    Mais pour ma part , j’ai reçu mission , je crois, de par la grâce du baptême de les combattre, avec à présent ma seule plume.
    Il ne vous est pas interdit de respecter cela en évitant de déformer mes propos pour me caricaturer et nuire ainsi à la ligne de défense que j’ai établie sur le sujet , et qui, en effet, semble gêner bien du beau monde pour le seul fait qu’elle dit la vérité.

  24. @ Sancenay : je me demande si vous avez lu mes propos, les vôtres n’y répondent pas en tout cas.
    En un mot, le seul point de vue que je défends est que si on parle de donner volontairement la mort, on n’emploie pas le terme soin palliatif ou sédation palliative dans notre cas précis, puisque précisément les soins palliatifs ne portent pas l’intention de donner volontairement la mort ni l’action de la donner (limitation de la morphine). On devrait parler de sédation mortelle dans cet article.
    Enfin il me semble que chaque pas dans le bon sens est à prendre : c’était mon point de vue sur la loi Leonetti qui permet aujourd’hui de limiter l’acharnement thérapeutique, premier facteur d’euthanasie, de trafic d’organes, etc… En quoi ceci est une défense du bonhomme ou de l’UMP ???? Je ne vois pas.
    Ce n’est pas parce que nos ennemis essaient d’embrouiller le débat en employant les mots à tort & à travers, en semant des germes de doutes pour justifier de faire une loi de “cadrage” des actes médicaux, comme pour le “mariage” homosexuel ou l’IVG, qu’il faut tomber dans ce piège & se diviser.

  25. à L de M
    Tout au contraire, je vous lis attentivement.
    Rassurez-vous, bien lecteurs du Salon Beige mesurent l’attention que je porte à un tel sujet, et me le font régulièrement savoir généralement bien plus sur le ton de la gratitude que de l’invective ou du mépris.
    Dieu merci les hommes de bonne volonté fidèles et raisonnables, ça existe encore, même chez les “cathos de France” oserais-je dire si l’humour “à la Zemmour” m’est permis!
    Vous dites :”la loi Leonetti qui permet aujourd’hui de limiter l’acharnement thérapeutique, premier facteur d’euthanasie, de trafic d’organes, etc…”
    De quelles statistiques si peu connues du public, pourtant en principe concerné, tirez-vous cette auguste affirmation ?
    Il n’en reste pas moins vrai qu’en son temps c’était également l’argument des libertaires pour convaincre , sans peine au demeurant les gaullistes de gauche de basculer dans le camp de l’avortement pour tous.
    C’est tout de même singulier pour quelqu’un qui invoque le Magistère de se retrancher derrière cette fumeuse rhétorique , non ?
    Mais il est vrai que lorsque l’on met sur le même pied, au titre des préoccupations du Magistère ,( “testament et sacrement” dans votre ordre s’il vous plaît: votre comentaire du 31 mai à 11 h36), il ne faut plus s’étonner de rien.
    Nous nageons dès lors en plein relativisme si propices aux “avancées” des ennemis de la loi naturelle et, par conséquent, des catholiques que Monsieur Léonetti traite ouvertement “d’obscurantistes”.
    Si vous avez encore des doutes sur les visées du personnage , demandez donc son avis à Jean-Marie Le Méné, il me semble qu’il est allé assez loin dans la tentative de “dialogue” avec l’intéressé comme on dit dans “l’open wolrd”.
    Pour autant il ne m’est pas apparu qu’il est été payé en retour.
    Pour ce qui est de “nos ennemis” je ne vois pas de qui vous parlez si vous accordez d’emblée l’absolution à ceux qui nous insultent et, davantage, foulent au pied le caractère sacré de la vie.

  26. “qu’il ait été” sorry for this big mystake , il arrive que l’on tombe sur les lignes …

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