Partager cet article

Cathophobie

La surveillance des catholiques traditionalistes par le FBI était plus étendue qu’on ne le pensait

La surveillance des catholiques traditionalistes par le FBI était plus étendue qu’on ne le pensait

Des nouveaux documents révélés par le sénateur Chuck Grassley exposent les efforts du FBI pour cibler les « catholiques traditionalistes radicaux », et montrent que la surveillance exercée par le FBI a été beaucoup plus étendue qu’on ne le pensait auparavant.

Les dossiers contredisent le témoignage sous serment du directeur du FBI de l’époque, Christopher Wray, qui, en 2023, a décrit le fameux mémo de Richmond ciblant les « catholiques traditionalistes radicaux » comme un incident isolé. En réalité, cette note a été envoyée à plus de 1 000 employés et coordonnée avec au moins quatre bureaux locaux.

Aucune objection n’a été soulevée et les bureaux du FBI à Buffalo, Louisville, Portland et Milwaukee ont participé à son suivi. L’équipe de Grassley a également trouvé 13 autres documents du FBI et cinq pièces jointes utilisant le terme « catholique traditionaliste radical ».

Plus important encore, le sénateur a découvert une deuxième version, plus large, destinée à être distribuée à l’ensemble du bureau, qui conservait des affirmations liant le catholicisme traditionnel à « l’extrémisme violent à motivation raciale et ethnique » qui, selon le rapport, était susceptible de se développer. Ce rapport analytique exécutif sur les perspectives stratégiques (Strategic Perspective Executive Analytic Report – SPEAR) contredit directement l’affirmation de M. Wray selon laquelle il n’existait qu’un « produit unique ».

Grassley a révélé que le directeur adjoint de l’époque, Paul Abbate, avait ordonné que le mémo et ses documents soient définitivement supprimés. Un autre fonctionnaire a ordonné la suppression d’une liste indiquant qui avait eu accès au document. M. Grassley a demandé au nouveau directeur du FBI, Kash Patel, d’identifier l’auteur de ces suppressions, d’en expliquer les raisons, de déterminer s’il y a eu obstruction à la surveillance et de récupérer les fichiers manquants.

Ces révélations soulignent les préoccupations de longue date concernant la partialité politique au sein des forces de l’ordre fédérales et soulèvent des questions sur les personnes que le gouvernement considère comme une menace.

Le terme « traditionaliste radical » peut sembler une rhétorique inoffensive pour certains, mais il alimente manifestement la surveillance et la suspicion à l’égard des innocents.

Partager cet article

3 commentaires

  1. Je vous remets ce lien qui permet en filigrane de comprendre qui est considéré dangereux, qui ne l’est pas ou semble ne plus l’être : https://www.revueenroute.jeminforme.org/plan_maconnique_en_33_points_pour_detruire_l_eglise_catholique.php

    • Encouragé par les conciliaires, son entourage et amis francs maçons, protestants, c’est le « pape » Paul6 qui les a fait entrer les fumées de Satan, il le savait très bien, il est mort tourmenté conscient et coupable du désastre amorcé.

  2. Et nous ici par la DGSI.

    (Bonjour !)

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services