La tuberculose est en augmentation en Ile-de-France, région française la plus touchée par cette maladie, avec une hausse de près de 10% du nombre de cas signalés entre 2015 et 2017, selon des chiffres publiés mardi par Santé publique France. Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire indique :
Le taux de déclaration de la tuberculose en Île-de-France a augmenté de façon significative entre 2015 et 2017, passant de 14,6/105 habitants en 2015 à 15,8/105 habitants en 2017 (+8,2%, p<0,01), suggérant une possible inversion de tendance. Tous les départements franciliens ont franchi le seuil de 10 cas de tuberculose/105 habitants en 2017. Des disparités infrarégionales sont observées avec notamment une augmentation du nombre de cas plus importante dans la capitale, atteignant un taux de 16,8/105 habitants en 2017 (contre 13,5/105 en 2015, p<0,01). Le taux de déclaration chez les personnes nées à l’étranger a augmenté contrairement à celui observé chez les personnes nées en France qui, lui, a diminué. Parmi les cas de tuberculose déclarés en Île-de-France, une hausse est observée chez les hommes, chez les résidents en collectivité et, parmi les personnes nées à l’étranger, chez les primo-arrivants.
1758 cas de tuberculose confirmés ou probables ont été déclarés en Ile-de-France en 2015, 1809 en 2016 et 1927 en 2017, soit une croissance de 9,6%.
La tuberculose est une infection touchant le plus souvent les poumons, transmise par voie aérienne et qui peut se propager au cerveau. Elle se soigne normalement en six mois avec une cure de plusieurs antibiotiques. Au niveau mondial, la tuberculose est la maladie infectieuse la plus meurtrière, avec 1,6 million de décès par an, dont environ les trois-quarts en Inde. Cette maladie est environ deux fois plus fréquente en région parisienne que dans l’ensemble du territoire français.
Parmi les huit départements de la région, la Seine-Saint-Denis avait de loin le taux de déclaration le plus élevé (25/100.000 en 2015 et 26,5/100.000 en 2017), devant le Val-de-Marne (qui est lui le seul département en baisse, de 18,3/100.000 à 15,8/100.000).
L’immigration : une chance pour la France.
F. JACQUEL
Quand on accueille toute la misère du monde, il faut assumer les risques qui l’accompagnent, et, en particulier, les risques sanitaires. Cela induit des hausses de coûts sanitaires considérables qu’il faut ajouter à la longue liste des autres dépenses exponentielles dues à la volonté submersive des margoulins qui se sont accaparés le gouvernement au détriment de la France et des Gaulois réfractaires qui essaient d’y survivre…