"Jean-Luc Romero dans le texte- Dans Le Point :
« Dans notre République, la vie
n'appartient qu'au seul citoyen, personne n'a le droit de décider pour
lui-même, surtout pas en fin de vie – mon corps m'appartient ! -, et la
souffrance n'est pas rédemptrice. »Eh bien non, monsieur Romero. Même
« dans notre République », la vie n’appartient pas au citoyen. Car ce
n’est pas le citoyen qui s’est donné la vie. Et s’il a recours à
l’euthanasie il met fin à sa vie terrestre avant terme, mais il ne peut
pas décider de ne pas mourir. Donc il ne fait pas ce qu’il veut de sa
vie, donc sa vie ne lui appartient pas.On remarquera l’emploi pervers du mot
« citoyen ». Car on pourrait faire remarquer à Jean-Luc Romero que si
personne n’a le droit de décider de la vie de son semblable, alors il
doit être contre l’avortement. Mais il prend soin de parler de
« citoyen ». Le fœtus n’est pas un citoyen… Il ne semble pourtant pas que Jean-Luc Romero soit pour l’avortement jusqu’à 18 ans.Enfin, un militant athée de la
culture de mort n’est pas qualifié pour parler de souffrance
rédemptrice. On lui répondra que l’histoire de l’Eglise est pleine
d’exemples prouvant la valeur rédemptrice de la souffrance, pas en
elle-même, certes, mais vécue en union avec le Christ crucifié – et
ressuscité."
La vie n’appartient pas au citoyen
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Fleur
“Citoyen”, c’est comme étranger, employé de banque, ado, fillette, homo, parano, curé, arabe, obèse, etc… Ce n’est qu’une petite partie (coupée en rondelle) de ce que chacun est : un être humain, lui-même homme ou femme.
Et la “République”, elle-même n’est qu’une partie du cadre de vie, plus ou moins choisi et sujet à variations suivant les lieux ou les époques.
Voilà typiquement donc l’exemple d’une démonstration biaisé, sans aucune logique : dire des généralités tirées de situations parcellaires en les appliquant à tous (qui plus est de manière totalitaire !).
Ce langage incohérent, intolérant, mensonger et tyrannique est bien dans le style LBGT…
Exupéry
Nul!
– 1°) L’usage du terme citoyen, est d’un ridicule achevé c’est du “copié-collé” de la sinistre Révolution française!
Un citoyen est étymologiquement l’habitant d’une “cité” ce qui ne garanti aucune cohésion de “notre république”; rappelons que nombre de “citoyens” lyonnais, en 1793, auraient bien voulus échapper aux diktats des “citoyens” de Paris… ils furent exécutés au canon chargé à mitraille!)
– 2°) Assimiler la vie au seul corps est un réductionnisme idéologique, très prisé des libertins “gay” , cf.: Simone de Beauvoir (“Le corps, après tout, on n’a que ça”), cette corrélation est vieille comme le monde (cf.: Sagesse-2).
– 3°) Quant à la Rédemption, celui qui ne reconnait pas plus le péché que le Sauveur, ne saurait l’envisager, encore moins en parler.