Une avocate colombienne a demandé à la Cour constitutionnelle de Colombie d’abolir 2 articles du Code Pénal pénalisant l’avortement de 1 à 3 ans de prison. La Cour a refusé, estimant que ces demandes se faisaient sous la pression d’organismes internationaux. La Cour a estimé que les "demandeurs" qui réclamaient la possibilité d’avoir recours à un avortement thérapeutique en cas de viol ou de malformation, visaient en fait une dépénalisation totale de l’avortement. Monseigneur Fabian Marulanda a rappelé que "la défense de la vie était mentionnée dans la Constitution Nationale qui déclare l’avortement comme un délit".