… en faveur du financement de la recherche impliquant la destruction d’embryons humains, survenu hier. La délégation permanente à Bruxelles des épiscopats de l’UE réagit avec fermeté :
[Puisque] l’utilisation et la destruction des embryons humains est un sujet qui touche à l’inviolabilité de la vie et de la dignité humaines et concerne les convictions les plus profondes de nombreux citoyens de l’UE, l’UE a le devoir moral de s’abstenir de promouvoir par le biais d’un financement communautaire ce type de recherche, interdit dans certains États membres. En prenant cette décision, l’UE interférerait avec les décisions nationales sensibles prises à cet égard et violerait le principe de subsidiarité.
[…] Nous demandons par conséquent au Parlement Européen, au Conseil des Ministres ainsi qu’à la Commission Européenne de reconsidérer leur attitude à l’égard de cette question et de réserver les efforts communs de l’UE en matière de recherche à des priorités véritablement communes et moins controversées. Nous saisissons cette occasion pour réaffirmer notre soutien envers le financement communautaire de la recherche sur les cellules souches adultes.
Henri Védas (via Bafweb)
Anonyme
Voilà maintenant que la Comece est devenu souverainiste !
“En prenant cette décision, l’UE interférerait avec les décisions nationales sensibles prises à cet égard et violerait le principe de subsidiarité.”
Mais la même COMECE n’appelait-elle pas à voter “oui” à la constitution européenne l’année dernière ? Cherchez l’erreur…
Anonyme
Voilà maintenant que la Comece est devenu souverainiste !
“En prenant cette décision, l’UE interférerait avec les décisions nationales sensibles prises à cet égard et violerait le principe de subsidiarité.”
Mais la même COMECE n’appelait-elle pas à voter “oui” à la constitution européenne l’année dernière ? Cherchez l’erreur…