Dans un entretien à La
Croix, le Pr Denys Pellerin, président honoraire de l’Académie
nationale de médecine expose la position que soutiendra l’Académie
lorsqu’elle sera auditionnée par la mission Sicard sur la fin de vie.
"A
l’heure actuelle, on parle de ‘fin de vie’, mais personne n’est dupe :
la question posée à la mission Sicard est de savoir s’il faut ou non
dépénaliser l’euthanasie en France. […] Autrement dit, demander à un médecin de donner la mort à une personne sous certaines conditions"."la position de
l’Académie est claire : elle est formellement opposée à toute évolution
de la loi qui viserait à dépénaliser un tel geste. Nous considérons en
effet qu’un médecin qui donne la mort n’est pas un médecin. Son rôle est
de soigner et d’accompagner. Les conséquences d’une telle
dépénalisation seraient très graves : tout d’abord, cela engendrerait
une perte de confiance du patient dans le personnel soignant ; ensuite,
l’assistance médicalisée pour mourir ouvrirait une dangereuse brèche,
menaçant en premier lieu les personnes les plus vulnérables. Il est de
notre devoir de dénoncer le risque d’une grave dérive pour notre société".
Sancenay
tartufferie!
elle est déjà dépénalisée dans les faits depuis la loi Léonetti qui a subtilement introduit l’autorisation de donner la mort dans des conditions atroces par arrêt de l’alimentation, de l’hydration et/ ou de la respiration, ce qui autorise aujourd’hui le sensible druide de la religion du Progrès contre l’humanité a demander la “sédation terminale” suivant ainsi la bonne tactique révolutionnaire dite du cliquet qui a si bien fonctionné avec la contraception et l’avortement .
Les mêmes néo-humanistes entendraient bien l’utiliser à présent pour faire passer via l’amalgame gay,la gay-pma et autres monstruosités savamment destructrices de la cité.
Tonio
En bon français on appelle les personnes chargées d’administrer la mort selon les conditions prévues par la loi : un bourreau.
Pas un médecin.