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Culture de mort : Euthanasie

L’affaire Sébire devient vraiment glauque

Les prélèvements biologiques effectués sur le corps de Chantal Sébire, après qu’elle se soit donné la mort,

"se sont mystérieusement volatilisés de l’hôpital de Dijon où ces pièces à convictions étaient conservées".

Une enquête préliminaire, ouverte le 20 juin par le parquet de Dijon, a pour but d’élucider ce vol présumé. Le second volet de la procédure cherchera à déterminer s’il y a eu ou non une "provocation au suicide". Les enquêteurs cherchent à savoir les conditions dans lesquelles Chantal Sébire a pu se procurer le produit qu’elle a utilisé pour mettre fin à ses jours et si quelqu’un l’a encouragée au suicide.

Si demain, nous apprenions qu’en fait quelqu’un lui a injecté de force le barbiturique, ce ne serait pas surprenant.

Pour rappel, les derniers épisodes de l’ADMD sont ici.

Michel Janva

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