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Culture de mort : Avortement

L’ambition du Planning : allonger le délai légal pour avorter

L’ambition du Planning : allonger le délai légal pour avorter

220 000 avortements chaque année, ce n’est pas assez pour le Planning Familial. Aujourd’hui, le délai court jusqu’à 12 semaines de grossesse; Au-delà, le Planning incite les femmes à violer la loi :

Quelle est votre actualité politique ?

L’allongement des délais de l’avortement. Nous en avons marre de recevoir des femmes qui doivent se saigner aux quatre veines pour partir avorter à l’étranger. C’est injuste. En France, ce délai n’est absolument pas fondé sur des considérations médicales, la France est l’un des pays qui autorise l’interruption médicalisée de grossesse le plus loin, au-delà du délai légal pour l’IVG, donc on a la technicité pour interrompre les grossesses. Nous en avons marre de recevoir des femmes qui pour des raisons diverses, toutes légitimes, doivent prendre des crédits auprès d’établissements bancaires véreux, doivent demander de l’argent à des personnes qui ne sont pas forcément de confiance, afin de partir avorter à l’étranger.

Comment procédez-vous ?

Sur le délai dépassé, nous sommes des féministes enragées, les seules à recevoir les femmes qui en ont besoin, les autres ne nous comprennent pas. Nous essayons de constituer un groupe de travail avec des docteures issues d’hôpitaux, pour légitimer et banaliser notre demande, car ces demandes se font partout.

Mais pourquoi le Planning ne milite-t-il pas déjà pour l’infanticide, comme ses collègues de Virginie ? Les choses seraient plus claires.

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2 commentaires

  1. Toujours les mêmes arguments mensongers de ces sorcières qui n’ont jamais assez de sacrifices humains à offrir à satan.

  2. En octobre 2000, au-delà de dix semaines, c’était illégal: la femme n’avait plus dans le ventre un “amas de cellules” mais un futur être humain. Coup de baguette magique, en novembre 2000, le délai légal passe de dix à douze semaines. Le résultat du développement de la rencontre entre un spermatozoïde et un ovule reste “amas de cellules” deux semaines de plus.
    Et si on les prenait au mot, de manière rigoureusement stricte, les tenant(e)s du: “c’est mon corps, c’est mon droit”? Analyse obligatoire du patrimoine génétique d’une cellule de cet “amas de cellule”, et comparaison avec le patrimoine génétique de la “gestatrice”: si les deux patrimoines sont identiques, aucun problème, tu peux poursuivre ta démarche; si les deux patrimoines ne coïncident pas, on tient la preuve que cet “amas de cellules” n’est pas une partie de toi. Vas-tu alors demander à la justice de t’autoriser à te débarrasser de ce “parasite”?

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