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France : Société

L’antiracisme n’est qu’un racisme en sens contraire

L’antiracisme n’est qu’un racisme en sens contraire

De Bernard Antony :

[…]

Ainsi, on nous avait annoncé sur France-Inter et quasiment toutes les chaines « en continu » que contre le « racisme » et Donald Trump allait déferler à Washington la plus gigantesque manifestation de toute l’histoire des États-Unis. Il y a certes eu des cortèges nombreux, nullement un raz de marée. Et cela parce qu’on nous ment sur la réalité américaine qui est loin de n’être que celle de la lutte des races ; qu’on nous ment sur la criminalité, celle-ci étant très multiraciale ; qu’on  nous ment sur la violence policière comme s’il n’y avait aux États-Unis que des policiers blancs alors qu’il suffit de se promener dans les rues de New-York ou de Washington pour constater la proportion importante de policiers noirs.

Et on nous ment encore plus massivement sur « l’affaire » Adama Traoré !

Comme si les circonstances du décès de ce personnage n’avaient pas été minutieusement analysées, non seulement par l’I.G.P.N (qui n’est pas une institution raciste !) mais aussi par plusieurs magistrats d’une magistrature qu’il est vraiment difficile de suspecter de racisme !

Et on ment aux Français en occultant le fait qu’Adama Traoré était, non pas un « petit délinquant », mais un lourd délinquant multi-récidiviste, comme le sont ses frères, Yacouba, Youssouf, Cheikné, Samba et Bagui. Ces frangins constituaient avec Adama le gang « Traoré » faisant, depuis dix ans, régner la terreur à Beaumont-sur-Oise. Mais leur sœur Assa Traoré, promue hégérie de l’anti-racisme anti-blanc, n’en éprouvera que de la fierté.

Désormais il est vrai, dans cet « antiracisme », ne qualifie-t-on pas de racistes ceux qui dénoncent les « pillages » perpétrés par la faune des émeutiers ? En effet, ce n’est pas de pillage qu’il faut parler mais de « réappropriation », comme l’explique doctement dans Libération une certaine Esther Cyna.

Tout cela réjouit la camarade islamo-gauchiste algérienne Houria Bouteldja, toujours payée par la France à l’Institut du monde arabe. Elle se félicite dans un communiqué hostile à « la gauche blanche dans ses basses œuvres » et annonce la progression de la « force indigène ». « Ca viendra, inch’ Allah » écrit-elle en son sabir, poursuivant : « Les manifs de sans pap et le rassemblement historique du comité Adama sont des signaux qui vont dans cette direction ».

Nous, nous savons la direction qu’un Etat digne de ce nom devrait faire prendre à cette fanatique propagandiste du racisme anti-blanc : droit vers le Sud !

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