Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"selon une étude réalisée au sein de l'école d'infirmières de Ribeirão Preto, l'avortement entraîne chez une majorité de femmes des problèmes de dépression à différents niveaux, ainsi qu'une baisse de l'estime de soi. […] L'étude, réalisée entre août 2008 et septembre 2009 a été réalisée auprès de 120 femmes hospitalisées dans un hôpital public de São Paulo avec un diagnostic d'avortement. Pas moins de 57 % d'entre elles présentaient des signes de dépression, qui selon les cas était légère et de longue durée (33 % des cas), modérée (22 %) ou grave (13 %). 109 femmes, la très grande majorité, donc, présentaient un niveau d'estime de soi de moyen ou bas."
C.B.
Je doute qu’en France aucune étude de ce genre puisse être entreprise lors des mémoires (TFE) d’école d’infirmière (IFSI). Dommage.
Martin
C’est plutôt heureux, cela montre qu’elles ont conscience d’avoir tué.
Cotte
Voilà, je réagis à votre article car je tenais à signaler qu’étant jeune j’ai perdu un bébé à quatre mois de grossesse, et je suis dépressive depuis 20 ans. C’était une fausse couche absolument naturelle et pourtant j’en ai été très malheureuse. Depuis j’ai eu deux filles en parfaites santé.
anne
En la comparant à l’occupation allemande, Marine Le Pen sous-estime gravement l’importance et la gravité de l’occupation musulmane, mais elle ouvre un débat important face aux tabous de la classe politico-médiatique.
Le Troisième Reich allemand avait envoyé en France quelques dizaines de milliers de soldats pour l’occuper.
L’Islam, selon la stratégie conquérante de Boumedienne et de Khadafi, a envoyé en France des millions de personnes pour y faire une immigration de peuplement. C’est évidemment beaucoup plus grave pour l’identité nationale et la civilisation française et européenne. Le succès ou l’échec de cette tentative dépendra de notre volonté de survie et de notre foi en la civilisation chrétienne. Nous ne devons jamais oublier que l’Histoire est volontiers tragique.
“Entrer en résistance”, ou “Devenir collaborateur” de cette nouvelle occupation ? Voilà les questions posées d’ici les Présidentielles. Comme dans la seconde guerre mondiale, ce ne sont pas des questions simples. Mais ce sont des questions dont les réponses engagent encore plus notre avenir, car ladite occupation n’est ni de même nature, ni de même degré que l’occupation allemande. Nous appelons nos élus à se prononcer clairement sur ce choix, car l’Histoire jugera.