Alors qu’Emmanuel Macron va célébrer publiquement la liberté garantie du meurtre de l’enfant à naître dans la Constitution, le président argentin Javier Milei a déclaré dans un discours mercredi 6 mars devant des collégiens et des lycéens que l’avortement est un «meurtre» et les partisans de sa légalisation des «assassins».
«Je peux vous le prouver d’un point de vue mathématique, philosophique et libéral».
En Argentine, la loi sur l’avortement a été adoptée en décembre 2020 et mise à l’œuvre en janvier 2021 après un débat agité. Elle prévoit la possibilité d’avorter jusqu’à 14 semaines de grossesse sans avoir à en expliquer les raisons.
Michel
On eût apprécié que François rappelât que voter pour le droit à l’infanticide est aussi, comme commettre ce crime, un péché mortel, mais sans doute ce rappel de la doctrine traditionnelle de l’Église fut-il jugé par lui trop “rigide”, voire “retrograde” et préféra-t-il s’en tenir à une appréciation purement humaine de cette abomination : le service minimum en quelque sorte…
Australe
des paroles de bons sens qu’il est de plus en plus difficile de tenir dans les médias français ou en public tant nous sommes bâillonnés.
un président et un parlement si mal élus qu’ils ne représentent plus les français mais se permettent tout.
SouvenirdeBainville
Bravo pour son courage. On aimerait que la fausse droite française et le RN (reniement du FN) soient aussi courageux, mais ils rampent devant le mensonge officiel et de la presse au service du mondialisme.
SouvenirdeBainville
Ce président est en rupture avec les politiciens corrompus ayant conduit l’Argentine à l’abîme.
Bravo pour son courage.
On aimerait que la fausse droite française et le RN (reniement du FN) soient aussi courageux, mais ils rampent devant le mensonge officiel et de la presse au service du mondialisme.