Le conseil régional de la région centre et l' Observatoire régional de la santé ont présenté le résultat de leur étude sur l'état de santé des lycéens de la région. Une étude qui en dit long sur l'absence d'éducation à la sexualité responsable et sur l'inversion des valeurs :
" La moyenne d'âge des lycéens interrogés est de 16,8 ans. Selon leurs déclarations, 53,4 % ont déjà eu des rapports sexuels (26 % avant 16 ans) et si 55 % ont systématiquement utilisé un préservatif, 11 % jamais, 17 % n'en ont pas utilisé parce qu'ils avaient fait le test VIH et 17 % déclarent « utiliser le préservatif, en principe ».
Quatre élèves sur dix ont eu recours à la contraception d'urgence, 8 % ont eu recours à au moins une IVG. Enfin, 59 % des lycéens interrogés voient dans l'IVG un « moyen comme un autre de contraception »."
ID
et moi je m’apprête à demander des comptes à ma mairie car je découvre dans le bulletin municipal que l’on s’occupe aussi de ce genre de “santé” des jeunes : “contraception : savoir en parler, savoir où aller”.
C.B.
Dans l’article en lien:
“Marie Reynier, recteur, note « la banalisation » de la grossesse : « Être jeune mère est comme un statut, une sorte de reconnaissance dans le monde des adultes. » D’où cette interrogation : « Qu’est-ce que nous, adultes, nous ne donnons ou nous ne reconnaissons pas aux jeunes, et qui leur manque ? » ”
chouan 12
a force de raconter des âneries à longueur de médias un certain nombre de jeunes ont assimilé la leçon