Le président de la conférence épiscopale du Portugal, Mgr Jorge Ortiga, a déclaré que l’avortement continuera d’être un crime même s’il est légalisé à l’issue du référendum du 11 février :
“Ce n’est pas le fait qu’une loi existe qui va dire que l’avortement – que nous considérons comme un crime, une mort – va cesser d’en être un. Il continuera de l’être.”
“Il ne s’agit pas de savoir si nous avons de la considération pour une femme qui décide d’avorter dans des situations [données]. Il faut voir aussi la réalité d’un être vivant qui aurait pu avoir une vie et qui a cessé de l’avoir.”