En conférence de presse à Lourdes :
«La gravité des faits qui ressurgissent donne une gravité à notre rencontre. Les victimes savent que c’est d’abord à elles que je pense… je prie pour elles. » « Quand c’est fait par un prêtre, c’est encore plus horrible, car les parents ont mis leur confiance dans ce prêtre.. on comprend leur colère, leur désarroi, leur souffrance"
«Je veux dire avec la plus grande force que jamais, jamais, jamais je n'ai couvert le moindre acte de pédophilie».
A deux reprises, en 2006 et en 2014, il a écarté deux prêtres du ministère pour ces raisons.
« Que faire pour des faits anciens ? ».
« Couvrir, ça veut dire ‘tu sais et tu as laissé faire’ : ça absolument pas ».
Il s’est exprimé également sur la plainte déposé par un certain Pierre contre le père Jérôme Billioud, qui l’aurait attouché lorsqu’il avait 16 ans.
« Cela n’a rien à voir avec la pédophilie »
Les faits concernaient un jeune homme de 17, puis 20 ans. Il a également rappelé que la plainte avait été classée sans suite, pour cause de prescription. Il s'agit là d'homosexualité. Or l'Eglise refuse d'accepter les personnes ayant des tendances homosexuelles au sein de ses séminaires. C'est ce que le lobby LGBT ne pardonne pas et n'a pas pardonné à Benoît XVI. En mélangeant abus sexuels et pédophilie, les médias ne rendent pas service aux victimes : ils les utilisent contre l'Eglise.