Le Conseil de l'Europe réunit 47 pays et est indépendant de l'UE (dans un certaine mesure, puisque l'idéologie véhiculée est semblable).
Un projet de résolution de l'Assemblée parlementaire du Conseil de
l'Europe présenté par la Suédoise Mme Hägg et la socialiste britannique
Christine Mc Cafferty s'attaque à : « L'accès
des femmes au soins médicaux légaux : le problème du recours non
réglementé à l'objection de conscience. » L'objectif est double : promouvoir l'avortement en tant que «
droit humain », et dans cette même logique limiter la possibilité
offerte aux personnels médicaux à titre individuel comme aux
établissements de soins de refuser de fournir certains services de
santé pour des motifs religieux, philosophiques ou moraux.
En France, les restrictions à l'objection de conscience ont déjà été
mises en place pour l'« IVG » par la loi Aubry : le médecin sollicité
pour un avortement peut refuser mais doit fournir à sa patiente le nom
et l'adresse d'un confrère ou d'un centre acceptant de fournir ce «
service », tandis que dans les hôpitaux publics, les chefs de service
de gynécologie-obstétrique ont l'obligation légale d'organiser des
avortements.
oliroy
Que le Christ Roi reprenne ses droits sur la fille ainée de l’Eglise et ses Brebis.
Prions Sainte Jeanne d’Arc pour la liberation de la France et la liberation de l’esprit de nos édiles.