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Culture

Le coût astronomique des associations progressistes

Le coût astronomique des associations progressistes

Emmanuel Rechberg, spécialiste de la finance internationale, et Wandrille de Guerpel, journaliste, ont passé deux ans à éplucher les comptes de dizaines d’entreprises, associations, commissions étatiques, instances de villes et de régions. Le résultat est sidérant. Il y a des économies à faire. Le progressisme a été et est toujours financé par nos impôts, via l’Etat, et des entreprises. Tout le monde sait qu’il existe des associations subventionnées qui se mêlent de politique. Mais personne ne sait combien d’argent et d’emplois tout cela représente. Le gâchis est astronomique. Il est temps d’assainir nos finances publiques et de supprimer tous ces comités qui nous pompent notre argent pour nous injecter du venin dans le cerveau : SOS Racisme, Haut Conseil à l’Egalité, France Télévisions, FFF, politique de la ville, ADMD, ARCOM, CCNE, ANRU, CNCDH, les centaines d’associations LGBTQXYZ, DILCRAH, Coexister, Planning familial, Reporters sans frontières… La liste est longue de ces organisations financées par des fonds publics, avec parfois des salaires mirobolants. Un gouffre financier dénoncé par les auteurs. Sans parler des organismes étrangers ou internationaux, devant lesquels la France éprouve le besoin absurde de se faire bien voir. C’est le cas de Transparency International, l’organisation qui lutte contre la corruption et, à ce titre, exige le maximum de transparence dont elle est elle-même incapable…

Basée à Berlin et cofondée par neuf personnes, dont un ancien des renseignements militaires américains, elle héberge une centaines de “filiales” dans autant de pays. La Française attaque régulièrement devant les médias quiconque lui déplaît au nom de la lutte contre la corruption.

Le bureau hexagonal est actuellement dirigé par Nadège Buquet. Cette jeune femme fut membre du cabinet ministériel du gouvernement de Bernard Cazeneuve. Elle est spécialiste des “plaidoyers” des associations. Aucune organisation non gouvernementale n’admet pratiquer le lobbying. Plutôt, elles reconnaissent produire des “plaidoyers”, notamment pour encadrer le lobbying des autres. Entre autres choses, Mme Buquet fut bénévole de la Cimade, association d’extrême-gauche dont le but est l’accueil massif de migrants.

Transparency international est célèbre pour son indice fumeux sur le taux de corruption des pays. Il se base sur la perception des hommes d’affaires. C’est dire si la mesure est fiable et fait rire le monde des affaires.

En 2017, le groupement a dû retirer son agrément au bureau américain, pour cause de corruption. Ce dernier était rémunéré par des fabricants d’armes et des pétroliers à qui il décernait des brevets d’honorabilité. […]

En France, l’association surveille nos maires, députés, et autres conseillers régionaux. […] Toutefois, elle ne contrôle pas la Cimade ou SOS Racisme, ni aucune des associations de gauche qui brassent des millions pour ne s’occuper que de lobbying.  […]

Comme la plupart des donneurs de leçons, l’association de publie pas ses comptes. […]

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