Le député Rassemblement national du Vaucluse, Joris Hébrard, va annoncer sa démission de l’Assemblée nationale. Une décision qui semble prise suite à sa participation réjouie, le 17 mars, à l’inauguration d’une mosquée franco-turque dans sa circonscription, au Pontet.
L’initiative a conduit le bureau exécutif du Rassemblement national à sanctionner d’un blâme le député.
Marine Le Pen précise que cette démission n’est d’aucune façon liée à l’inauguration de la mosquée :
« La décision de réintégration des soignants non vaccinés permet à Joris Hébrard de reprendre son métier de kinésithérapeute. Pour des raisons familiales, le rythme de l’Assemblée nationale était compliqué pour lui. Cela l’a décidé de reprendre sa place de maire du Pontet. »
Joris Hébrard réfute le terme de démission. Le maire du Pontet, Patrick Suisse, vient d’annoncer sa démission. Ainsi, Joris Hébrard pourrait redevenir maire et en vertu de la loi sur le non-cumul des mandats, ne pas pouvoir rester parlementaire. C’est sa suppléante, Catherine Jaouen, avocate, qui le remplacerait à l’Assemblée nationale.
Michel
On ne le regrettera pas… Quant à Marine, elle a encore manqué une occasion de se taire…
F. JACQUEL
Si l’on en croit les explications de François Braun, tout récemment invité par Laurence Ferrari, la HAS a effectivement émis un avis favorable à la réintégration des personnels suspendus. Mais il faut consulter toutes les parties prenantes avant de prendre une décision hâtive qui pourrait être regrettable (et regrettée).
Je pense qu’on est pas sorti du tunnel et que ces malheureuses victimes de la tyrannie du régime vont devoir encore faire preuve de patience quelques mois.
Biem
Une belle ânerie que d’avoir accepté cette loi sur le cumul des mandats.
Avec ça, on met fin (volontairement) aux hommes forts député-maire de grande ville, enracinés, qui ne craignent rien ni personne.
Et le résultat est un ramassis de pantins inexpérimentés et inconnus aux ordres d’une technocratie abstraite et irresponsable.
Où est le gain? Où est la démocratie?
Prout
On apprend donc que Joris Hébrard avait eu le courage de résister au covidisme et ne s’était donc pas fait injecter un produit expérimental et dangereux, préférant quitter son métier.
Un bon gros point donc, pour lui.
Le reste bof, pas très interessant finalement
philippe paternot
encore une fois le rn ne fait pas dans la vérité crue, des magouilles dignes de la 4è république