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Culture de mort : Avortement

« Le droit à l’avortement est supérieur à la liberté de conscience »

« Le droit à l’avortement est supérieur à la liberté de conscience »

C’est ce que déclare Mathieu Lefèvre, député Renaissance de la 5e circonscription du Val de Marne :

 

A bon entendeur…

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8 commentaires

  1. C’est quoi une majorité qui n’est pas républicaine ?

  2. Ce député doit avoir un QI très très bas et son intelligence en découle : pauvre personne et il est à plaindre!!!!

  3. Une déclaration digne du macronazisme…

  4. Je ne supporte plus la suffisance de ces p’tits mecs.

  5. Mr Lefevre, ce que vous dites s’appelle tout simplement un viol de la conscience.

  6. L’arc républicain décoche des flèches mortelles.
    Au moins, avec Mathieu Lefevre, les masques tombent : le droit de tuer est supérieur à tous les autres. L’enfant intra-utérin n’existe pas. Le médecin, reniant son serment d’Hippocrate, deviendra un tueur à gage. Je ne sais pas si les femmes, abandonnées par le planning “familial”, sortiront gagnantes de cette monstruosité.
    Lorsque, après l’avortement, ce sera le tour de l’euthanasie, puis du transhumanisme et du changement de sexe qui entreront dans la Constitution, la société toute entière deviendra invivable, inhumaine et sauvage. Nous en avons déjà un avant (mauvais) goût.
    Mais, j’entrevois que cette abomination, la constitutionnalisation du “droit” à l’avortement, sera un point de départ pour revenir à la vérité de l’homme. Car, à force d’aller toujours plus loin dans l’ignominie, on se heurtera tôt ou tard à une prise de conscience, qui nous reviendra en pleine figure : “Qu’as-tu fait de ton frère ?”
    Conscience qui fait manifestement défaut à ce monsieur, mais hélas à un trop grand nombre de nos concitoyens.
    Aussi, tant que le droit à une expression libre ne nous est pas interdit, redisons que l’avortement est le meurtre d’un enfant innocent. Qu’en conséquence, il n’y a aucun droit qui lui soit attaché. Et que ce drame et cette tragédie, car l’avortement est un drame et une tragédie, n’a rien à faire dans une Constitution. Celle-ci ne doit garantir que le droit inaliénable à la vie de tous les enfants conçus dans le sein d’une femme. Femme que l’on doit secourir pour l’aider à donner la vie et non à la supprimer.
    Voilà ce que devrait être la philosophie d’une constitution.

  7. “Il faut laisser au Sénat le temps du débat, on a pas un pistolet sur la tempe du Sénat, …” (Sic)

    MON OEIL! Mathieu lefèvre, MON OEIL!
    Les premiers à avoir un pistolet sur la tempe sont les enfants avant de naître, et les autres, qui l’ont symboliquement, sont tous ceux qui ont des fonctions décisionnaires pour graver dans la loi, ou non, l’infanticide de masse, dont le Sénat!
    Le désir urgent de Mathieu Lefèvre de voir “la chose” inscrite dans la constitution révèle clairement qu’il fait partie de l’engeance qui tient ce pistolet sur la tempe du Sénat tout en surjouant un simulacre de respect du choix de cette institution.
    C’est très bas.

  8. Non, une mauvaise loi ne rend pas un acte immoral moral!
    Comme le dit Garde67 ci dessus: prévenons et éveillons avant qu’il ne soit trop tard et que des lois et pratiques encore plus inhumaines ne se mettent en place!
    Rentabilité et assouvissement des désirs prennent déjà le pas sur la dignité de l’homme…

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