Dans VA, Arnaud Folch commet un article intitulé "Boutin à la croisée des chemins", sur un possible retour du FRS (qui prendra le nom de "Démocratie chrétienne" à sa convention du 31 janvier) sur ses valeurs fondamentales :
"C'est compliqué en France de se définir comme un parti confessionnel", explique [le délégué général du FRS Eric de] Laforcade. C'est pourtant bien sur ce créneau que le FRS – qui n'aurait que deux adhérents musulmans ! – a choisi de prospérer. De façon de plus en plus revendiquée. Pour la première fois cette année, le parti a appelé ses adhérents à participer à la Marche pour la vie du 25 janvier à Paris."
MJ (merci à HV)
gc
Et le système poursuit toujours sa stratégie de division…
Pascal G.
C’est en effet courageux de se dire chrétien.
Mais les expériences historiques de la démocratie chrétienne depuis 1 siècle ont été désastreuses : ces partis ont tous ralliés des majorités ou créé avec d’autres partis des majorités qui ont abandonné et gommé la morale chrétienne. Au sein de ces partis, ceux qui étaient ou qui sont d’authentiques catholiques, sont marginalisés et n’ont aucune influence.
L’étiquette, même la plus noble, ne peut justifier par avance l’à peu près.