Vincent Lapierre, journaliste-cameraman non conformiste, a été tabassé par des antifas samedi à Toulouse et sauvé par des Gilets jaunes :
Il est hors de danger :
Je sors des urgences. Tout va bien. Quelques hématomes au visage mais rien de grave. Merci pour votre soutien.
À très bientôt pour de nouveaux reportages ! https://t.co/kgtKgCJHSW— Vincent Lapierre (@VincLapierre) 2 février 2019
Mais les journalistes, qui s’émeuvent d’habitude assez rapidement dès que l’un des leurs est violenté, restent silencieux. Pourquoi ? je vous laisse trouver la réponse, mais voici la réaction de Pierre Cassen, de Riposte laïque :
hanc
Les sensibilités soraliennes, dieudonnesques, ou autres, du journaliste Vincent Lapierre, ne sont que des prétextes pour le Pouvoir et ceux qui ont intéressé à ce que perdure le Système. Un pouvoir et un Système qui veulent à tout prix discréditer les “Gilets Jaunes” et tout mouvement montrant des velléités d’indépendance par rapport aux normes mondialistes.
Le seul tort de Vincent Lapierre c’est de faire son métier de journaliste. Et cela c’est impardonnable pour le Système.
Gaudete
les anti-fa les voyoux macronistes qui font ce qu’ils veulent et en plus encouragés par le cerbère de service: castagnette le bien nommé
DUPORT
Les “antifas” sont les milices fascistes du gouvernement.
Elles existent depuis Mitterrand pour faire tous les mauvais coups et ont perduré sous les régimes félons de Chirac et Sarkozy qui n’ont pas levé le petit doigt pour les supprimer.
Avec la renaissance des régimes fascistes Hollande et Macron elles reprennent du service de plus belle !
philippe paternot
aurait il seulement été insulté par un “ultradroite” que cela passerait en boucle sur les chaines d’infos aux ordres!
mais là des antifa, blacklblocs peuvent tout se permettre , les idiots utiles du gouvernement actuel