Le président de la Conférence nationale des évêques du Brésil, Mgr Geraldo Lyrio Rocha, a fait ce commentaire de la nouvelle encyclique :
"Le pape prononce des paroles sages, opportunes et éclairantes quand il réaffirme que le développement, qu'il assimile à une ‘vocation' de l'homme, ne se réalisera pleinement que si l'on respecte les principes qui considèrent l'être humain comme une créature bien-aimée de Dieu revêtue d'une dignité que ne sauraient sacrifier les lois économiques destituées de l'éthique et de l'amour".
La mentalité laïciste «qui se répand de manière incontrôlable et parfois irrationnelle, ne peut voiler l'enseignement de l'Eglise».
[V]ouée à servir l'humanité, [l'Eglise] attire l'attention sur les dérives d'un développement centré sur lui-même et tourné vers l'homme comme si celui-ci, autosuffisant, était une fin en soi. En ce sens, le pape Benoît XVI réaffirme le rôle incontournable de l'Etat à garantir la liberté religieuse comme une des conditions au développement.
Quand l'Etat encourage, enseigne ou impose des formes concrètes d'athéisme, il ôte aux citoyens cette force morale et spirituelle qui les porte au développement humain intégral, il les empêche d'avancer, les freine dans leur dynamisme à trouver une réponse humaine plus généreuse à l'amour divin. […] C'est pourquoi le pape insiste encore une fois sur l'éthique, pour l'économie aussi, comme condition ‘sine qua non' vers un développement qui se veut humain".
Létin
Ces hindous-là ne pratiqueraient-ils pas la religion islamique ?