Après Têtu, c'est au tour de Yagg de connaître la liquidation judiciaire. Le lobby groupusculaire n'a pas assez d'abonné, preuve que ces gens ne représentent personne :
"Le tribunal de commerce de Paris a prononcé hier la liquidation de LGNET, la société éditrice de Yagg. Une offre de reprise de l'entreprise avait été proposée à l'administrateur judiciaire, mais ce dernier a considéré qu'en l'état, elle n'était pas satisfaisante. Il craignait également que LGNET ne puisse pas faire face dans les mois qui viennent à ses charges. C'est pourquoi il a demandé la conversion du redressement judiciaire en liquidation. Le tribunal l'a suivi.
En pratique, une liquidation signifie que l'entreprise n'existe plus. Tou.te.s les salarié.e.s sont licencié.e.s et tous les actifs de l'entreprise (cela va des ordinateurs à la marque, en passant par les archives) vont être mis en vente. Nous ne pouvons plus accepter de dons ou de nouveaux abonnements."
Sans fleur, ni couronne.