Lu ici :
"Après un demi-siècle, il ne reste plus grand-chose de ce grand égal. Le mythe de la "contraception sûre" est révolu. De plus en plus de gens se réveillent d'une ivresse contraceptive. Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS, 2005) les œstrogènes et les progestatifs, les ingrédients de chaque «pilule», sont parmi les substances les plus cancérigènes pour les humains et les animaux. Aucune semaine ne se passe ou une étude scientifique met en garde contre les effets secondaires dangereux. Dr. Ellen Grant (à l'époque responsable de la recherche, General Hospital, Massachusetts) et son équipe connaissaient les conséquences dramatiques dès les années ‘70 grâce à leur recherche mondiale sur la pilule contraceptive. Entretemps, les compagnies pharmaceutiques paient des montants astronomiques pour des demandes d'indemnisation. Et tout cela ne fait qu'augmenter. En fait, les gens savaient depuis le début que quelque chose n'allait pas. Au départ, aucune entreprise pharmaceutique ne voulait offrir des contraceptifs. C'était contre leurs principes éthiques. Lorsque la société américaine G.D.Searle offrit finalement Enovid en 1960, c'était la porte du barrage, mais le mot contraception était scrupuleusement évité. Organon a introduit Lyndiol sur le marché néerlandais en 1962 comme remède contre «les cycles menstruels irréguliers et contre les douleurs menstruelles». Anovlar a été vendu en Belgique deux ans plus tard comme un moyen pour «faire reposer les ovaires d’une manière thérapeutique»! Ingéniosité incroyable."