C’est ce que révèle la dernière enquête de la Smerep. Les étudiantes sont autant touchées que les lycéennes :
"Pas moins de 6% des lycéennes françaises ont déjà eu recours au mois une fois à une interruption volontaire de grossesse (IVG) et parfois même deux fois pour certaines. Un chiffre qui grimpe lorsqu’il s’agit des jeunes adolescentes en Ile-de-France puisqu’une lycéenne sur dix y aurait déjà subi une IVG. C’est l’un des constats alarmants que dresse l’étude commandée par l’organisme de sécurité sociale étudiante Smerep. L’enquête, parue le lundi 5 septembre dernier, a été menée par OpinionWay auprès de 507 étudiants de toute la France et 707 en Ile-de-France et de 403 lycéens sur tout le territoire et 368 d’Ile-de-France.
Une lycéenne sur cinq a déjà eu recours à une contraception d’urgence
Ainsi, malgré les opérations de prévention, de plus en plus nombreuses dans les lycées et universités, plus d’une lycéenne française sur cinq déclare avoir déjà eu recours à une contraception d’urgence, autrement dit, à la pilule du lendemain. Et 7% d’entre elles y ont déjà eu recours deux fois et 2% plus de 5 fois. Un chiffre qui grimpe encore nettement lorsque l’on se concentre sur la population lycéenne francilienne: près d’un tiers des lycéennes d’Ile-de-France (31%) déclare avoir déjà pris la pilule du lendemain. Des résultats inquiétants […]"
Voilà où mène la propagande sur la contraception: non pas à moins d'avortements mais à plus d'avortements. Sans parler du matraquage, dès le collège, sur le plaisir sexuel.