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Les gestionnaires de la république n’agissent que par violence et mépris du peuple. Ils se servent de ce régime politique pour assouvir leurs ambitions personnelles et malheureusement pour des intérêts contraires à ceux des citoyens, comme dans toutes les formes de despotisme. Les personnes qui ne rentrent pas dans leur moule de la pensée convenue et écoutent l’avis de nos compatriotes se voient affublés du qualificatif de « populiste ». Disons-leur clairement : soyez fier d’être à l’écoute et de défendre le peuple dans un pays dont la démocratie se borne, par des boniments, à faire croire qu’elle existe !
La France subit une grève massive qui paralyse en partie le pays. Les citoyens en lutte contre une « réforme » expriment surtout une exaspération. Celle de la misère qui gagne du terrain, de l’inquiétude face à l’avenir et de la peur immédiate de ne savoir comment terminer décemment le mois en cours. La mobilisation contre toutes les contraintes endurées depuis plusieurs années, le mépris des dirigeants, amènent nos compatriotes à prendre toutes les opportunités possibles pour s’exprimer car ils se sentent incompris et sans écoute.
Comment dans ces conditions reprocher aux Français de ne pas se rendre aux urnes alors qu’ils savent pertinemment que cela ne leur permet pas de se faire entendre ? Au second tour de la présidentielle, celui qui l’a emporté s’est présenté comme sauveur de la démocratie alors qu’il la bafoue au quotidien. Bonimenteur, charlatan ou baratineur… Pire encore car les qualificatifs de félon, traître ou scélérat seraient plus appropriés. Les Français souffrent de ne plus avoir entre les mains le pouvoir de décider de leur avenir commun.
Une véritable démocratie s’exerce dans l’intérêt du peuple, avec trois règles fondamentales : pour le peuple, par le peuple et au nom du peuple. Pour cette raison, il s’avère nécessaire de mettre en place ce que je qualifie d’équilibratie, avec trois types de souverainetés indépendantes, harmonieuses et complémentaires, justes et réfléchies qui s’autorégulent entre elles afin d’assurer un équilibre des pouvoirs, capable de donner une écoute au peuple, avec bon sens et respect de nos compatriotes. Ces institutions permettraient le dialogue et le consensus qui suivent toute réflexion honnête, en établissant une discussion paisible dans un cadre autorisant un débat au bénéfice de nos compatriotes et se déroulant dans le calme et l’ordre (indispensable l’un et l’autre) pour déterminer sereinement les choix d’avenir.
Une solution juste et équitable existe !
Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme
Laguérie
Nous aimerions en savoir plus ! Que sont ces trois souverainetés ? Comment s’équilibrent-t-elles ? Allez votre Altesse. Vous nous avez mis l’eau à la bouche.
markusdepikkendorf
+1
Meltoisan
Non, pas l’eau. Du vin !
Et du bon, comme par miracle !
XAVIER57
A mon sens il faut se poser plusieurs questions avant de chercher le bon mode de gouvernance du pays.
La première étant de savoir qui est légitime pour exercer l’Autorité en France, qui doit l’exercer, dans quel but ?
Depuis la funeste révolution française, le peuple s’est laissé illusionné par la démocratie en croyant qu’il pouvait être maître de son destin. Les lois qui régissent la vie en société se sont petit à petit détournées de la loi naturelle. Aujourd’hui, l’assemblée est corrompue et vote des lois mortiferes, tant pour l’âme que pour les corps.
Le peuple est domestiqué par la machine infernale appelée Éducation nationale et lobotomise par des médias aux mains d’intérêts privés.
Le peuple ne pourra faire les bons choix politiques qu’après avoir levé les yeux vers le Ciel et retrouvé son âme.