Léa Salamé, “journaliste” militante hargneuse, compagne de Raphaël Glucksmann tête de liste socialiste aux européennes de 2019, est liée à Georges Soros par son père, ancien ministre libanais :
“Fondée en 1979 par le milliardaire américano-hongrois George Soros (né György Schwartz), l’Open Society, présentée comme un projet « philanthropique » sensé promouvoir la gouvernance démocratique, les droits de l’homme et des réformes économiques « progressistes », est considérée par ses nombreux détracteurs comme l’une des principales armes de « soft power » des intérêts américains, visant à araser les souverainetés et les particularismes nationaux et locaux pour le plus grand profit de l’oligarchie financière globalisée.
S’appuyant notamment sur Ghassan Salamé (père de Léa Salamé), ancien ministre libanais de la culture, et ses réseaux, la fondation de George Soros a non seulement mis en place un important maillage de la société libanaise mais elle s’est également largement introduite dans les divers mouvements de contestations. Elle y a notamment habilement placé un certain nombre d’intellectuels, d’universitaires et d’experts susceptibles de les orienter dans une direction favorable à ses intérêts. Certains commentateurs vont même jusqu’à parler d’une véritable « OPA » du milliardaire sur le mouvement contestataire. La stratégie est simple et redoutablement efficace : on crée des relais « associatifs » à un mécontentement populaire privé de structures politiques, on finance des médias sensés en être les « porte-voix » et on finit par le cornaquer et le diriger dans le sens de sa stratégie.
Ainsi, toujours selon Natacha Torbey, lors du soulèvement général du 17 octobre 2019, George Soros a considérablement augmenté le financement d’ONG sur le territoire libanais, une très forte somme de 3 618 000 dollars étant versée en quelques semaines (…)”
F. JACQUEL
Cette relation entre le père de Léa Salamé et George Soros explique mieux les comportements de cette commissaire politique de la Propagandastaffel.