The Center for Medical Progress a publié une vidéo, filmée en caméra cachée, dans laquelle le Dr Nucatola, directrice générale des services médicaux du Planning familial américain depuis 2009, reconnaît prélever et vendre entre 30 et 100 $, des organes intacts de bébés avortés (le trafic d'organes est passible de 10 ans d'emprisonnement aux Etats-Unis et de 500 000 $ d'amende). D'après les auteurs de la vidéo, il s'agit d'avortements par naissance partielle, une pratique totalement illégale.
Jeanne Smits avait décrit il y a quelques années en quoi consiste un avortement par naissance partielle :
"Cette forme d’avortement, pratiquée à partir du 5e mois de grossesse, consiste à déclencher l’ouverture du col pendant deux jours, à faire naître partiellement l’enfant par le siège, puis à perforer sa tête par le bas du crâne et à aspirer son cerveau avant d’extraire totalement son corps de l’utérus. Le procédé répond à un double objectif : faciliter le passage de la tête, mais aussi s’assurer de la naissance d’un bébé mort."
Tout au long de l'entretien filmé à son insu, le médecin parle d'avortements (où placer son forceps pour récupérer l'organe voulu, quelle partie écraser…) et de parties de corps de bébés à vendre tout en dégustant sa salade – ses interlocuteurs se sont fait passer pour des acheteurs potentiels et lui ont fixé un rendez-vous au restaurant. La vidéo, reprise par les sites pro-vie américains, commence à faire parler d'elle outre-atlantique et mériterait d'être entièrement traduite et sous-titrée en français. Avis aux amateurs. La voici, en anglais donc :
[Add] le résumé d'Yves Daoudal en complément :
"C’est le foie qui est le plus demandé, bien que « beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment ». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des « extrémités inférieures », et elle ne sait pas trop pourquoi, sans doute « pour les tissus musculaires ».
Le seul problème est qu’il faut le faire de façon à qu’on ne dise pas « la clinique vend des tissus et se fait de l’argent avec cela ».
Elle pratique elle-même des avortements à Los Angeles jusqu’à la 24e semaine. Elle explique qu’elle tient une petite réunion chaque matin pour déterminer quelles parties du corps sont demandées (les clients remplissent un formulaire) et quelles sont les « patientes » qui ce jour-là auront des bébés sur lesquels on pourra faire les prélèvements. Ainsi les avorteurs pourront adapter leurs gestes de façon à ne pas endommager les organes à vendre ce jour-là. « Pour cette raison, la plupart des fournisseurs – sic – se font guider par échographie, afin de déterminer où ils vont mettre les forceps. Ils se disent : “Je ne vais pas écraser cette partie, je vais écraser en dessous, et au-dessus, et je vais voir si je peux avoir ça intact.” Certains changent la façon dont le fœtus se présente, de sorte qu’il ne vienne pas par la tête, parce que vous ne pouvez pas obtenir la dilatation suffisante. Si vous le faites à partir de la présentation par le siège, par les jambes, alors vous pouvez finir par avoir le crâne intact. »
La loi fédérale américaine interdit l’avortement par démembrement depuis George Bush, et la vente d’organes. Mais, dit Deborah Nucatola, « les lois sont sujettes à interprétation. Si je vous dis d’emblée que je n’ai pas l’intention de faire cela, ce qui arrive après n’a pas d’importance. »"
[Add 2] : le vice-président en charge de la communication du Planning familial américain ne dément qu'à moitié, en jouant sur les mots :
« dans le domaine de la santé, parfois, les patients veulent donner des tissus pour la recherche scientifique pour aider à faire avancer la recherche, les soins, les traitements. Les femmes qui avortent au Planning Familial ne sont pas différentes. (…) Aucun bénéfice n’est réalisé lors de ces dons de tissus (ie d’embryons). Parfois, certains coûts, comme celui de transporter les tissus vers les meilleurs centres de recherche, sont remboursés. »
Dans la vidéo, le Dr Nucatola parle pourtant bien de vente et non de dons, et d'organes et pas seulement de tissus. Le Gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal, annonce l’ouverture d’une enquête.
Isa
C’est la “banalité du mal” décryptée par Hannah Arendt… Bravo aux auteurs de la caméra caché, il faut débusquer et dénoncer ces barbares
Richard Cousudor
Au delà de l’ignominie des avorteurs desquels nous ne pouvons rien attendre de bon et toujours pire, une question importante se pose : s’ils vendent, c’est qu’il y a des acheteurs.
À quoi peuvent donc servir des organes de bébés avortés ?
Pas à une greffe : il faut une compatibilité immunologique et physique (la taille des organes de fœtus de 5 mois les rends incompatible d’être humains hors prématurés).
Qui les achète donc et pour quoi faire ?
[La recherche, je suppose. Ses interlocuteurs se sont fait passer pour des membres d’une “fetal tissue procurement company”, je suppose qu’il s’agit d’une entreprise chargée de fournir les chercheurs en tissus foetaux. L.T.]
bébert
dur à lire ce genre d’articles: on a envie de vomir
A.F
Allo, Kouchner? Tu es là?
Gisèle
Les débusquer ? Pour en faire quoi ?
Croyez vous que la justice des hommes les condamnera ?
Dieu les voit . c’est suffisant !
A quoi cela sert ils ? aux laboratoires …à la prétendue * science * !
Xavier
Si on n’est plus dans une civilisation chrétienne, pourquoi ne pas prendre l’être humain pour une marchandise comme une autre ?
A quand une ferme aux mille avortements pour développer comme les USA la vente d’organes ? Il y a de l’argent à se faire ! Reste à tuer tout l’aspect affectif chez les gens en supprimant la famille ! Car il ne faut pas qu’ils s’attachent à leurs petits !
Et que leurs enfants plus tard ne s’attachent pas à leurs parents qui devront mourir à un âge précis ! 65 ans ? Permettant à l’état de ne pas avoir de retraite ni de sécu à payer….
Le meilleur des mondes ! Celui de l’antichrist ! Et personne ne pourra s’en échapper grâce à la puce obligatoire que chacun devra s’être injecté ! D’autant plus que les monnaies auront disparu. L’argent sera dans les banques sous forme numérique ! Sans la puce, il sera impossible d’acheter ou de vendre quelque chose !
jejomau
Le foie est considéré par de nombreux peuples comme un point central important chez l’homme.
Par exemple, pendant la guerre menée par les troupes de Pol Pot envers leurs ennemis successifs, il est avéré que les khmers rouges dévoraient crus les foies de leurs ennemis pour s’emparer de leurs forces (du moins le croyaient-ils)
Cette pratique se vérifie aussi pour le cœur que certains peuples dévorent crus chez leurs ennemis qu’ils ont terrassé.
C’est assez impressionnant de considérer qu’au Planning Familial , pour les ennemis de l’humanité et du petit d’homme : “C’est le foie qui est le plus demandé, bien que « beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment ». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des « extrémités inférieures », et elle ne sait pas trop pourquoi”
Comment ne pas croire à l’existence de Satan ? Et à ses représentants sur terre avec de telles similitudes ?
oppose
Et en France ?
En cherchant bien, si nous voulons chercher, nous découvrirons exactement les mêmes dérives dans nos propres hôpitaux.
Vu le lobby avorteur et le poids des labos pharmaceutiques en ripoublique socialiste, il n’y a aucune raison de penser que cela ne concerne que les USA.
Lila
Oh oui. A vomir. Doucement Le Salon Beige avec ces infos. Je sature des mauvaises nouvelles.
à une époque vous étiez plus positifs en allant chercher plus d’informations positives.
Je goûte particulièrement les articles vantant les mérites de Mgr Lebrun et passant sous silence ses faiblesses, (car il est homme). Nous avons besoin de beauté de grandeur en cette époque si dure.
Mais cependant, merci pour votre blog que je consulte depuis ses touts premiers jours.
SD-vintage
Si les fœtus ne sont pas des êtres humains, comment fait-on pour en retirer des organes humains ?
Mon
Toutes ces histoires donnent la nausée. Quelle tristesse.
Lassalle
À vomir ce satanisme !!
Fosset
je suis totalement écœuré je ne peux rien dire de plus, qu’est devenu l’être humain ? moins bien que les bêtes !
jacky.a
Louise Tudy a posté sur le Salon Beige un émouvant et angoissant article :
« Le Planning familial américain coupable de trafic d’organes de bébés avortés?»
que je qualifierai d’holocaustique (« sacrifice religieux »)
ou « rituel satanique.».
Grand merci pour cet article à Louise Tudy mais aussi au Salon Beige : Bravo.
Mon commentaire ci-dessous ne souhaite que souligner l’isomorphisme entre deux périodes 2015 et 1520 touchant deux civilisations : occidentale d’aujourd’hui Aztèque et Mayas d’hier.
2015
Trafic d’organes (humains) de bébés avortés.
Assassinat industriel à finalité lucrative.
L’Industriel
« La directrice générale des services médicaux du Planning familial américain depuis 2009, reconnaît prélever et vendre entre 30 et 100 $, des organes intacts de bébés avortés.
il s’agit d’avortements par naissance partielle. »
Campagne d’extraction.
« Avortement, pratiquée à partir du 5e mois de grossesse, jusqu’à la 24e semaine »
Objectif et Méthode.
« faire naître partiellement l’enfant par le siège,
puis à perforer sa tête par le bas du crâne
à aspirer son cerveau avant d’extraire totalement son corps de l’utérus.
Le procédé répond à un double objectif :
faciliter le passage de la tête,
mais aussi s’assurer de la naissance d’un bébé mort. »
Pratique de la méthode
« le médecin parle d’avortements tout en dégustant sa salade…
où placer son forceps pour récupérer l’organe voulu,
quelle partie écraser…
parties de corps de bébés à vendre »
Hit-parade de la demande.
« C’est le foie qui est le plus demandé
beaucoup veulent des cœurs intacts
demandes pour des poumons
extrémités inférieures pour les tissus musculaires »
Organisation journalière (petite réunion chaque matin)
« Commande à la carte
pour déterminer quelles parties du corps sont demandées »
« Gestion du cheptel
quelles sont les « patientes » qui ce jour-là auront des bébés
sur lesquels on pourra faire les prélèvements ».
Aspect rituel
Marchandisage du corps humain en suscitant par l’offre la demande
dans le seul but d’une production financière donc d’un bénéfice financier.
« Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l’un et aimera l’autre.On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon (Matthieu 6:24). »
Sainte Françoise Romaine (1384-1440) présente Mammon comme étant un des trois princes des Enfers, soumis à Lucifer uniquement.
Jacques Ellul, quant à lui, écrit dans La subversion du christianisme que Mammon est une partie de Satan, une de ses caractéristiques, un moyen de le définir.
Il préside aux divers péchés que fait commettre l’amour de l’argent, ce que l’on peut traduire par le commerce de la totalité de la création : œuvre de Dieu.
1520
Les sacrifices humains
Assassinat sacrificiel à finalité cannibalesque.
Sacrificateurs
Les Aztèques et les Mayas vénéraient le Soleil, la Pluie, la Lune et de nombreux autres dieux.
Ils offraient à leurs dieux des sacrifices humains.
Campagnes sacrificielles
à chaque divinité correspondait un rite particulier :
Journalière, Mensuelles, Annuelles, événementielles.
Le deuxième mois du calendrier aztèque était appelé Tlacaxipehualiztli
(littéralement “écorchement des hommes”).
Objectifs et Méthodes.
des sacrifiés avaient le cœur arraché pour que le Soleil se lève chaque matin.
des enfants étaient noyés pour que les pluies soient abondantes.
des victimes étaient égorgées ou décapitées, puis écorchées : renouveau de la végétation.
(Des écolos de la 1ère heure).
Les peaux étaient portées par les prêtres pendant les rituels de fertilité qui suivaient les sacrifices.
Les crânes des victimes étaient exposés par centaines.
Pratique de la Méthode
Les sacrifices avaient lieu également dans les grandes occasions, comme la rénovation du grand temple aztèque de Tenochtitlan (fin du 15e siècle) à l’occasion de laquelle plusieurs centaines de personnes furent sacrifiées.
Des jeux étaient parfois mêlés aux sacrifices, comme le jeu de balle maya, qui se terminait par la décapitation du vaincu ou du vainqueur.
Les Incas pratiquaient également les sacrifices humains, mais uniquement lors de grands troubles (maladies, catastrophes naturelles), pour apaiser les dieux.
Ainsi, lors des tremblements de terre, des enfants étaient enterrés vivants.
Organisation de la demande
Les victimes des sacrifices étaient la plupart du temps des prisonniers de guerre, mais elles pouvaient aussi faire partie de la population et être consentantes.
(la croyance voulait que les sacrifiés soient promis à un destin enviable).
Les sacrifices nécessitaient constamment de nouvelles victimes, obligeant les Aztèques et les Mayas à partir en expéditions pour faire des prisonniers de guerre.
Aspect rituel
Le cannibalisme était une pratique courante chez les Aztèques, qui mangeaient parfois leurs ennemis, ainsi que les victimes sacrifiées.
La Bible considère le cannibalisme comme une malédiction.
(Lévitique 26 verset 29, 2 Rois 6 verset 28).
Filigramme
Superposons les commentaires concernant les Etats Unis (2015) et celui des Mayas et Aztèques (1520).
Mayas Vers 2600 av. J.-C. à 1520 ap. J.-C. soit 4120 ans.
Aztèques Vers 1200 après J.-C jusqu’a 1521 après J.-C. soit 321 ans
Chacun d’eux traduit une dynamique bi-polaire d’expansion pour l’un « financier-industriel » pour l’autre « rituel-guerrier » s’appuyant sur une matière première commune : l’être humain.
Dans le premier cas l’industrialisation (production-vente) de cette matière première induit des produits financiers qui, au même titre que le pétrole, comme un flux sanguin, irriguent le CAC-40. Véritable sacrifice par le sang humain offert par Mammon à Satan.
Dans le second cas , la pérennité du rituel sacrificiel oblige à la guerre. Le guerrier se doit de fournir cette matière première qui au même titre que la lumière du soleil doit maintenir les équilibres de la nature, associés à différentes déités ( polythéisme et idolâtrie).
Véritable sacrifice par le sang humain offert par l’interface de l’idolâtrie à Satan.
Jésus dit à ses disciples :
« Il est inévitable que les scandales arrivent, mais malheur à celui par qui ils arrivent ! »
Luc 17, 1-2
C.moi
Merci à Simone VEIL qui a ouvert la brèche, elle peut pleurer jusqu’à la fin de ses jours, il est trop tard, le mal dure depuis 40 ans et ce n’est pas fini..
Comment peut-elle regarder ses petits enfants en face, si toutefois, ils ne sont pas tous morts dans le sein de leur mère.