Lu sur C-Fam :
"Un événement de l’Onu a été brusquement interrompu lorsqu’une avocate des droits des femmes a demandé au Planning Familial pourquoi des contraceptifs dangereux étaient distribués aux femmes africaines vivant dans la pauvreté. […] Tewodros Melesse a hésité à répondre. Le directeur d’IPPF a donc fait une déclaration générale de soutien au Depo provera. Il n’a pourtant pas expliqué pourquoi les femmes africaines sont les cibles des distributeurs de contraceptifs dangereux à base de progestérone, rarement utilisées par les femmes occidentales.
Les Co sponsors d’IPPF, le Danemark et le Libéria, avaient organisé la réunion pour attirer des ministres importants à New York, à l’Assemblée générale, et mobiliser du soutien en faveur du planning familial dans le cadre du prochain agenda 2015 du développement. Même s’il restait 30 minutes à la réunion, et malgré l’annonce d’une seconde session, la présidente du Planning Naomi Seboni a soudainement mis fin à la réunion. […]"