Selon un membre du bureau politique du FN :
«Désormais, notre potentiel se situe sans doute plutôt là qu’à gauche.Une fracture de LR est possible, il faut parler à ce segment dont on sait qu’il peut basculer vers nous.»
Bruno Gollnisch recommande :
«On veut faire croire à l’électorat de droite que nous sommes des crypto-communistes. Il faut insister sur la restauration des libertés économiques – à l’intérieur des frontières nationales.»
Conclusion du journaliste Dominique Albertini :
"Officiellement «ni de gauche ni de droite», le FN de demain pourrait surtout être «ni de gauche ni de gauche»."