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Culture de mort : Avortement / Europe : politique

Le rapport Tarabella adopté au Parlement européen

Suite au rejet du rapport Estrela, les partisans de la culture de mort sont remontés au créneau, avec le rapport Tarabella, qui consacre l'avortement comme un droit.

Le texte a été adopté hier par 441 voix pour (parmi lesquelles les UMP Alliot-Marie, Danjean, Dati, Delahaye, Grossetête, Lamassoure, Lavrilleux, Le Grip, Morano, Morin-Chartier, Muselier, Proust), 225 contre (parmi lesquels les FN Aliot, Arnautu, Bay, Bilde, Boutonnet, Briois, Chauprade, D'Ornano, Ferrand, Goddyn, Gollnisch, Jalkh, Lebreton, Le Pen Marine, Loiseau, Martin Dominique, Monot, Montel) et 52 abstentions (parmi lesquels le député Philippe Juvin). Résultats complets ici pages 82-83.

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8 commentaires

  1. Le FN se reprend mais pourquoi les 2 députés FN se sont ils abstenu lors du même vote à l’assemblée nationale ?

  2. Que vaut ce rapport puisque l’UE n’a pas à légiférer sur ce qui est en dehors cadre du principe de substitution ?
    L’UE essaye d’étendre ses prérogatives néfastes telle une petite dictature, ce qui se ressent dans les États, en particulier en France où sévit aussi l’esprit de dictature douce.
    Je dois avouer que chaque jour, quand j’entends les propos haineux, le ton vindicatif, le mensonge et la manipulation dans ce qui est dit par certains de nos dirigeants et que je vois les coups de menton qui les accompagnent, cela me fait peur.

  3. C’est très triste que ceux qui aiment la vie n’ai pas été en majorité, et que ce soit ceux qui la haïssent qui aient réussi à faire passer le droit à tuer.
    L’adoption de la motion Tarabella, où une fois de plus la Belgique s’est révélée en pointe dans le droit à tuer, montre que les intérêts financiers ne capitulent jamais.
    Cela montre, hélas, la puissance de « la pieuvre », les loges. Les francs-maçons qui clôturent leur séances « à l’ordre », la main sur la gorge, défenseurs du meurtre légal (pour ne pas dire autre chose), sont bien présents dans tous les partis politiques, mais aussi dans la magistrature (toujours aux ordres), les journalistes, les médecins, ..

  4. «  …en définitive, supprimer la vie, c’est détruire les racines mêmes de la liberté et de l’autonomie de la personne. » 
    « Et lorsque la société réussit à rendre légitime la suppression de l’individu – quel que soit le stade de la vie où il se trouve, ou quel que soit le degré de dégradation de sa santé -, elle renie sa finalité et le fondement même de son existence, ouvrant la voie à des iniquités toujours plus graves. » 

  5. Il est évident que tous les partis politiques sont noyautés, et que trouver un parlementaire indépendant n’est pas facile.
    Devant ce noyautage, la question se pose que peuvent faire les amoureux de la vie, qui la respectent du début à la fin ?
    Une seule chose : montrer et montrer encore la beauté de la vie, la joie que l’on a en la soutenant, en étant vraiment créateur plutôt que destructeur. La joie est contagieuse ; c’est le partage de la joie qui est le meilleur soutien de la vie. Mais il faut aussi soutenir concrètement ceux ou celles qui sont dans des difficultés et traversent des périodes de doute.

  6. Ceux qui consacrent l’avortement comme un “droit” n’ont à mon avis pas réfléchi à une incohérence logique fondamentale. Des études scientifiques ainsi que des témoignages de femmes ayant subies un avortement démontre qu’il ne s’agit pas d’un acte anodin, mais d’un traumatisme ayant des conséquences à long terme, quelquefois pendant une vie entière. En fait il s’agit d’un comportement féminin autodestructeur comme le sont par exemple la scarification des adolescentes, l’anorexie, la boulimie,la drogue, le suicide, la dépression post-natale etc. Personne ne parlerait de ces comportements en terme de droits, mais comme des troubles dont les victimes doivent être soignées et dont l’origine se trouve peut-être dans un mal-être que génère la société moderne dans le rapport des femmes à leur féminité. Mais l’avortement qui outre les troubles qu’il cause à la femme coûte avant tout la vie à un enfant est considéré comme un droit!

  7. Encore une preuve qu’il faut se dépêcher de sortir de ce cloaque.

  8. Et dans la foulée bientôt un droit au déni de grossesse puis à l’infanticide jusqu’à l’âge de raison ?
    Et puis un euthanasie quand les forces déclinent …
    Allez ce n’est pas la maladie d’amour qui concernera les sept-soixante dix-sept ans mais l’interdiction d’être “abrégé ” sur cette tranche d’âge dont la durée risque de se réduire au fur et à mesure de nos égoïsme et de nos hédonismes et de nos endettements financiers…
    Hitler doit rire en enfer…

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