De Mgr Le Vert, évêque de Quimper :
"Si nous voulons qu'une telle loi ne voit pas le jour, encore faut-il que nous soyons, non seulement convaincus de l'importance du dimanche, mais que nos manières de vivre soient cohérentes avec ce que nous croyons. Le débat qui s'ouvre doit être l'occasion pour nous tous, chrétiens, de réfléchir sur la place du dimanche dans notre vie, et sur la manière dont nous le vivons. Que faisons-nous le dimanche ? Le vivons-nous différemment que le reste de notre société ? Avons-nous intégré qu'un certain de choses sont incontournables chaque dimanche, à commencer par le rassemblement eucharistique ? Dois-je rappeler que c'est une faute grave, pour un chrétien croyant, de manquer volontairement la messe du dimanche, parce qu'il est grave de ne pas répondre volontairement à l'amour de Dieu ? Que disons-nous aux jeunes sur le dimanche ?
Une manière forte d'empêcher qu'un État fasse n'importe quoi le dimanche, c'est que sa population vive ce jour-là réellement de manière différente aux autres jours, et pas simplement pour se reposer. Sinon, il n'y a aucune raison d'en faire un jour différent. Les chrétiens ont là un rôle prophétique à jouer pour le reste de notre société, et les enjeux ne sont pas que sociologiques."
MJ
charles bories
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Pascal G.
Si les églises étaient pleines, c’est à dire, si le clergé ne les avait pas vidées en 40 ans d’errances liturgiques, intellectuelles, dogmatiques et morales (donc aussi politiques), il serait plus difficile au Grand Orient d’exiger de N. SARKOZY de supprimer le repos dominical, comme gage de son soutien et de son ouverture à gauche.