Lu dans Ouest-France :
"Au cours des dernières années, la condition de nombreuses communautés chrétiennes, notamment dans plusieurs États du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Asie, n'a cessé de s'aggraver. Pressions de toute sorte, violences allant parfois jusqu'au meurtre délibéré, se multiplient. Si l'hostilité à leur religion n'en est pas toujours la seule cause, les observateurs les plus impartiaux conviennent qu'elle en a été et en demeure le principal motif. Les dix millions de coptes en Égypte ; les maronites dans ce Liban que Jean-Paul II vantait comme « un modèle de pluralisme » ; les chrétiens en Irak, particulièrement à Mossoul ; même en Algérie, comme nous le rappelle le film sur l'assassinat des moines de Tibhirine ; aux Philippines, à Mindanao, pour ne citer que ceux-là… C'est dans une croissante précarité que ces communautés vivent et tentent de survivre, face à un fondamentalisme islamiste dont il faut souhaiter que les responsables musulmans désavouent les exactions.
L'on doit malheureusement regretter que les autorités nationales de ces États, auxquelles revient, en premier lieu, la responsabilité de protéger ces communautés, ne fassent pas davantage preuve de fermeté, tant pour punir les auteurs de violences que pour en prévenir le retour. Mais l'on doit aussi s'interroger sur l'attitude de la communauté internationale. En particulier celle des États démocratiques qui ont des liens séculaires avec les chrétiens d'Orient. Que font-ils (ou ne font-ils pas) pour obtenir des assurances précises sur la volonté de ces autorités nationales de permettre aux communautés chrétiennes de pratiquer leur religion en toute sécurité, conformément aux obligations découlant de la Déclaration universelle des droits de l'homme ? […] Les minorités religieuses ont, tout autant que les minorités ethniques, le droit d'être protégées. C'est pourquoi il est indispensable d'appeler les autorités responsables à exercer leur devoir de protection. Car il y a urgence."
Gustave Minet
On ne peut pas s’attaquer aux exactions de la religion mahométane sans s’attaquer à ses valeurs essentielles. La religion mahométane est substantiellement une sacralisation de la haine, et c’est pour cela qu’elle est constitutionnellement anti-chrétienne. Il y a peut-être moyen de faire un bon usage du cyanure ; mais le mahométisme est un mal absolu, qui est mauvais même dans ses doses les plus minimes. Moraliser un régime islamique, ce ne peut être que le dés-islamiser. Alors, allons tout de suite à la racine du mal, et faisons disparaître jusqu’à la dernière trace de la religion mahométane. S’il n’est pas concevable de revendiquer la liberté d’être nazi, il ne doit pas être concevable non plus de respecter les croyances mahométanes. Il n’y a pas à hésiter ou à transiger devant un mal aussi dangereux. La condamnation ferme et inconditionnelle du mahométisme est au moins aussi urgente et nécessaire que celle du “terrorisme” ou celle de l’exploitation sexuelle des enfants. On peut parler de liberté de conscience ou de liberté religieuse, mais pas quand la conscience ou la “religion” sont des mots qui désignent la bêtise volontaire et la mauvaise foi.
Simon
Le monde s’émeut bien plus pour un livre que pour des disciples du Christ, Parole de Dieu incarnée…