La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie le sixième rapport de l’Observatoire national du suicide. Ce rapport synthétise les grandes tendances des conduites suicidaires en France. Des tendances sans surprise pour une société déboussolée, sans espérance.
Avec 9 200 décès par suicide recensés en 2022, le taux de suicide atteint 13,3 décès pour 100 000 habitants, un niveau trois fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes (20,8 et 6,3 pour 100 000, respectivement). En baisse constante depuis le milieu des années 1980, le taux de suicide parait avoir atteint un niveau plancher au tournant de la décennie 2020. Une première hausse du taux de suicide enregistrée en 2018 relevait d’un artefact, puisqu’elle était due en grande partie à l’amélioration de la collecte des données, mais le taux de décès par suicide n’a pas repris sa diminution depuis. Au contraire, il est légèrement supérieur en 2022 (13,3) à ce qu’il était en 2021 (13,0) et 2020 (13,1).
Le nombre d’hospitalisations pour GAI (gestes auto-infligés) augmente chez les adolescentes et les femmes de moins de 25 ans depuis 2017, une hausse qui s’est accélérée à partir de 2021 et persiste au-delà de la période post-covid. 516 femmes de 15 à 19 ans sur 100 000 ont été hospitalisées en 2023 pour GAI (+ 46 % par rapport à 2017), plus de quatre fois le taux observé chez les hommes (113 sur 100 000). Dans le même temps, les hospitalisations pour gestes auto-infligés ont nettement reculé chez les femmes de 30 à 69 ans et chez les hommes de 30 à 59 ans.
Chez les jeunes, le suicide constitue la deuxième cause de mortalité, mais c’est aussi la tranche d’âge dont le taux de suicide est le moins élevé : 2,7 pour 100 000 chez les moins de 25 ans, contre 13,3 pour l’ensemble de la population. Les jeunes femmes demeurent la population chez qui le taux de suicide est le plus faible, quoiqu’il ait augmenté de près de 40 % entre 2020 et 2022 (passant de 1,15 à 1,60 pour 100 000).
zongadar
Cela est sans doute lier au fait que se faire injecter des produits contenant des produits issus de cellules vivantes d’embryons avortés (MRC5) (l’avortement étant un rituel satanique) et de la luciférase (SM102) ouvre des portes dans les âmes, ci-joint une partie d’un exorcisme d’une jeune fille : https://qactus.fr/2022/01/20/video-choc-ame-sensible-ou-croyance-difficile-ne-pas-regarder-et-ne-pas-juger-car-nous-la-passons-telle-quelle/
Michel Janva
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